La Maison Templar et Art Expo Première proposent Marilyn Monroe aux Espaces EDF Bazacle à Toulouse

La Maison Templar et Art Expo Première proposent une exposition singulière autour de Marilyn Monroe

 La plus célèbre des icônes se dévoile comme peu l’ont perçu à travers des photos inédites, des écrits et des objets qui dressent le portrait d’une femme aussi forte qu’intelligente, cultivée que réservée. A travers plus de 240 photos et de nombreuses anecdotes, le public découvrira un autre visage de Marilyn, celui d’une pionnière engagée qui tient tête aux plus grands d’Hollywood, une avant-gardiste féministe lanceuse d’alertes avant l’heure.

Marilyn Monroe, le secret de l’Amérique est à découvrir sans attendre aux Espaces EDF Bazacle à Toulouse jusqu’au 3 novembre.

« Le lys a une tige lisse. Qui jamais ne blessera votre main. Mais la rose,
de ses ronces, émerge et règne sur la terre. Il y a de la douceur dans le
pommier, du bienfait dans le blé. Mais la reine de toutes les beautés est
la rose sur ses épines. Quand dans la mousse et le miel, elle tend sa tige
et déploie ses pétales lumineux, elle embrase le monde. »
Christina Rossetti.

Avant-propos

Être révélé au Ciel présage une mutilation.
La confession érode l’assurance. Enveloppe
la consistance commode du cœur, pour
l’étouffer d’implication. Déshérite le passé de
ses largesses. Sans qu’en retour, elle octroie
l’inestimable répit.
Lui ferait cabrioler tout corps rôti hors de la
cage. Vaciller l’esprit afin que l’étourdissement
soit une vraie grâce.
La disparition d’un être cher garantit la fanfare
d’épreuves importunes et l’utopique pardon
à Dieu. Papoter des heures durant avec l’un
de ses Représentants peut être l’occasion
d’échapper aux circonstances. Mais, quittant
l’habitacle de bois et le coussin rouge affable,
les dalles sombres des lieux établissent que le
disparu ne reviendra jamais.
Nos espérances découlent d’une semblable
fontaine : l’incompréhension.
J’ignore si sur la pierre tombale est gravé
Norma Jeane ou Marilyn Monroe. Il suffirait
d’interroger « l’intelligence artificielle ».
De là où je me trouve en ce moment même,
je distingue une plume posée sur l’océan. Une
maison. Un phare. Une table. Des livres. Un
feu pour toutes les saisons.
Vous, elle et moi sommes inéluctablement
reliés. Aux certitudes. Dont la plus sommaire
claironne à notre naissance : « La mort
après ! »
Si certaines d’entre elles jouissent du rien des
cimetières, d’autres, vaincues par les témoins
du furtif passage, sont aveuglées par le récit.
Opposées au crayon et à ses pages. Aux
frissonnements des galets immobiles de toute
rivière. Aux signes.
Lorsque le jour se tait. Et que la nuit se plaît
à écouter davantage de secrets, je saisis mon
crayon et ses pages. Les voici pour vous.
Avant-propos
«Épouser un écrivain est aussi
dangereux que d’épouser un
pilote de Formule 1, ou un
aviateur de chasse… »
Jean d’Ormesson

Jean d’Ormesson a confié à sa petite-fille,
Marie-Sarah, « Méfie-toi. Épouser un écrivain
est aussi dangereux que d’épouser un pilote de
Formule 1, ou un aviateur de chasse, ou… Un
aventurier, qui se bat avec les lions. Pourquoi ?
Parce que… L’écrivain ne tient pas tellement au
bonheur. Le bonheur l’intéresse moins que son
manuscrit. »
Marilyn était follement amoureuse du plus
grand dramaturge du XXème siècle et la vérité
de leur histoire l’a fortement accidentée.
Arthur Miller l’avait tendrement aimée,
mais sa machine à écrire exauçait avant tout
l’égoïsme de son talent.
Les choses ne se déroulent pas toujours
comme le voudraient deux amants sincères.
L’intransigeance de la célébrité. La carence de
l’un. La nostalgie de l’autre. La résolution à se
devancer outre mesure, portée par l’orgueil, la
revanche. La foi écorchée. Le plaisir employé
comme barreur.
La vie est cruelle. Plus encore que l’amour. Ses
victimes sont donc légion.
Marilyn était d’une beauté et d’une sensualité
fascinantes. Franchissant péniblement cette
étape visuelle, le courage se retrouvait ébloui
par le jugement, la candeur, l’insatiable
curiosité et l’envie de goûter rapidement la
chair rose du futur.
De mon côté, j’avoue. Marilyn est le fantôme
le plus admirable croisé de mes conversations.

David Lawrence
David Lawrence a séjourné à maintes reprises aux États-Unis. Son arrière-grand-mère
maternelle, Mary Sharp, née en Irlande, débarqua en France en tant qu’orpheline. Passionnée
de littérature, elle décrocha un poste de professeur dans l’une des écoles du Nord de la France.
David Lawrence, père de trois enfants, est fier « de ce sang irlandais, qui coule dans mes veines ».
Depuis quelques années, il écrit pour la Maison Templar et Art Expo Première.
David Lawrence est l’auteur de :
Pablo Picasso, Lettres Imaginaires. Préfacé par Christian Noorbergen
Éternel Bobby Jones, préfacé par Robert Tyre Jones IV, Peter Alliss, Gary Player
Ben Hogan, c’est la vie ! Préfacé par Chuck Cook
Tiger Woods, l’homme et la légende
Jackie, l’Amérique des Kennedy. Préfacé par Cécilia Attias et Alain Malraux.
Herbes Majeures, préfacé par Alain Malraux
The Kennedy Years, préfacé par Son Excellence, Frederic Vreeland

 

 

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