http://www.iwelcom.tv/lizmccomb-brassland.htm
Le grand souffle de la Soul et du Jazz dans le Gospel de la Diva de Cleveland !
Cet Album qui met fin à la ségrégation entre les genres, jazz, gospel, reggae, soul, funk et pop, nous offre en 21 titres la quintessence de la musique noire américaine et séduira tous les publics, toutes générations confondues. La critique est unanime : une voix bouleversante, une immense force expressive, un rare pouvoir émotionnel, sans compromissions ni facilités, un extraordinaire engagement scénique, et une passion du chant qui en font l’une des plus grandes voix du siècle. Il témoigne aussi de l’éblouissant talent de compositrice et de productrice de Liz McComb.
Au fil des ans, au prix d’un travail acharné, Liz McComb s’est imposée par une oeuvre exceptionnellement féconde et unanimement célébrée : Prix Mahalia Jackson, Victoires du Jazz, EnSound Music Awards, etc. Chacune de ses apparitions est une leçon magistrale de vérité et de vigueur, d’émotion et de rigueur, jetée joyeusement à la figure des vocations académiques et superficielles du show biz … Liz est avant tout émouvante et généreuse, par sa voix, son jeu de piano et son engagement physique absolu.
Un concert de Liz McComb est inoubliable, on n’en ressort jamais indemne !
A Paris, au Studio Davout, avec le superbe orchestre mi-américain, mi-antillais de ses tournées européennes. A New Orleans ensuite, ville natale de sa principale inspiratrice, Mahalia Jackson. C’est dans cette «Cité du Croissant» (où elle avait déjà enregistré en 2001 l’excellent The Spirit of New Orleans) que Liz chante ici avec les Soul Rebels, sans aucun doute le brass band le plus stimulant de la ville… puis avec la crème du jazz traditionnel : Dr Michael White et son groupe dont Lucien Barbarin pour un inoubliable Basin Street Blues, Kirk Joseph figure de proue de la tradition du tuba accompagné des autres tubas masters des grands Brass bands de New Orleans et surtout l’impossible réunion des super stars de la ville (Kermit Ruffins, Donald Harrison, George Porter, Herlin Riley, Ivan Neville, Glen David Andrews) pour sa composition My Mother’s Love/God Cares for Me superbe et émouvant hommage à sa mère tout juste défunte qu’elle appelait depuis toujours « my first producer ». Puis à New York avec les Seal Breakers, grâce au soutien exceptionnel d’une branche dissidente de la farouche United Church of People du Révérend Sweet Daddy Grace, confrérie très spéciale qui refuse que leur musique sorte de leur église et devienne objet de spectacle et de commerce. Par sa force de conviction et la sincérité de sa démarche, Liz sut les convaincre du contraire. Bravo et tant mieux! C’est une évidence dès la première écoute : le « must », le clou, la merveille de ce double album réside dans les quatre titres enregistrés avec Desmond Jones et Dean Fraser à Kingston en Jamaïque. En particulier Give it up, très belle composition originale de Liz, mais surtout The Blessing , avec son doux tapis rythmique de steel drums, assurément la plus belle réussite de tout le disque, grâce aussi à la présence de musiciens qui ont tous participé aux premières séances de Bob Marley. Quand le reggae ne bégaie pas et tutoie l’Esprit Saint, c’est tout simplement le bonheur ! Alléluia !
Biographie Pascal Anquetil
27.01.2014 – L’Olympia – Paris
13.03.2014 – Casino de Paris – Paris
14.03.2014 – Casino de Paris – Paris
Liz McComb – By the Rivers of Babylon
www.lizmccomb.com
www.lizmccomb.com/integrale
www.lizmccomb.com/radio