SARAH OUHRAMOUNE
C’est un appel lancé à qui ? Au ministère, aux collectivités locales? Qui doit agir maintenant pour accélérer le processus?
Il faut agir conjointement. C’est à la fois le ministère, l’Etat, les collectivités, mais aussi les privés pour pouvoir soutenir des actions comme cela a été le cas avec Paris 2024 où je pense, comme beaucoup, on espérait qu’il y ait un réel impact de la culture du sport. Ça fait partie aussi des vœux de l’héritage. Sauf que là, on arrive à un an et demi des Jeux et on constate que finalement, cette culture, elle ne s’est pas plus développée que ça. Tous ceux qui pourraient soutenir des petites actions parce que je pense que maintenant c’est des petits pas qu’il faut faire pour soutenir les petites actions, pour qu’elles se démultiplient et se dire aujourd’hui, on a sauvé un, deux, trois jeune. Mon outil, c’est le sport et j’ai pu constater quand même que c’était un outil formidable pour permettre à des jeunes de se construire et devenir des citoyens engagés et épanouis.