LES CABARETS EQUESTRES DE L’ETE 2013 sur les terres de la Marquise de Pompadour
spectacle se déroulera sous le mythique manège de l’Orangerie où les spectateurs pourront se régaler tout en contemplant une alchimie parfaite, proposée par des artistes professionnels. Deux heures festives et gustatives où se mêlent tradition et art équestre, voltige, ombres chinoises et danse, le tout, porté par un orchestre jouant au rythme des sabots.
Voici un petit aperçu avec le spectacle 2012 (merci de cliquer sur la vidéo ci-dessous) :
Si vous ne parvenez pas à ouvrir la vidéo, merci de copier/coller le lien ci-dessous dans votre barre d’outils internet
LES CABARETS EQUESTRES DE L’ETE 2013
SUR LES TERRES DE LA MARQUISE DE POMPADOUR
Les 11, 16, 18, 23, 25, 30 juillet
Les 1, 6, 8, 13, 20, 22, 27, 29 août
Haras national de Pompadour (19)
2
Les médias en parlent :
et bien d’autres…
Les Cabarets équestres de Pompadour, c’est :
* Un spectacle équestre de 2h
* Un dîner préparé artisanalement avec des produits locaux
* Des musiciens
* Des danseuses
* Un cadre unique
Journalistes, vous êtes intéressés par les cabarets ? Quelques axes…
– Les coulisses des Cabarets équestres de l’été à Pompadour
– Le cheval artiste
– La fusion chevaux, cavaliers, musiciens, danseurs
– La découverte de la tradition équestre sous un nouveau jour
– La valorisation du patrimoine à travers le spectacle
– L’animation du territoire
INFORMATIONS PRATIQUES
Les 11, 16, 18, 23, 25, 30 juillet
Les 1, 6, 8, 13, 20, 22, 27, 29 août à 20h (2 heures de dîner-spectacle)
Manège de l’Orangerie, Haras national de Pompadour, Le Château – 19230 Arnac Pompadour
Gares : Limoges, Brive la Gaillarde, Uzerche, Pompadour
En voiture : autoroute A20.
Accès facilité aux personnes à mobilité réduite
Tarifs : 28€ tarif adulte
19€ tarif – 12 ans
Contacts réservation :
par téléphone au 06 74 83 40 22
par mail : cabarets.pompadour@haras-nationaux.ifce.fr
CONTACTS PRESSE
Carole Margelidon et Tiphaine Drouot, Chargées de communication
carole.margelidon@haras-nationaux.ifce.fr 06 84 69 29 93
tiphaine.drouot@haras-nationaux.ifce.fr 06 74 83 40 22
3
Annexes au communiqué de presse
Sommaire des annexes
– Les Cabarets équestres de Pompadour version 2013 p 4
– Un mélange artistique explosif mettant en lumière la plus belle conquête de l’homme p 6
– Le positionnement des Cabarets équestres de Pompadour p 10
– Le Haras national de Pompadour p 11
– Les partenaires p 12
4
Les Cabarets équestres de Pompadour version 2013
En 2013, les rideaux du manège de l’Orangerie s’ouvriront sur un spectacle totalement inédit, où, cette année, l’axe choisi est l’osmose entre danseurs, musiciens et chevaux.
Imaginez…
… un manège, et pas n’importe lequel, le manège de l’Orangerie du Haras national de Pompadour, vieux de près de 200 ans et habituellement réservé au travail des jeunes chevaux, transformé en salle de cabarets : une partie du manège aménagée pour l’occasion en salle de restaurant sur 3 niveaux, et des musiciens en mezzanine.
Et sur la piste…
Les artistes ainsi que les agents du Haras, enfilent leurs plus belles tenues pour offrir un spectacle d’exception :
Un démarrage au triple galop avec un saxophoniste suivant le rythme des sabots d’une jument et de son poulain ; deux artistes en amazone sur les splendides chevaux de trait breton du Haras, gracieusement accompagnés par une danseuse classique ; la liberté sur fond d’ombres chinoises ; Sans oublier des chevaux sens dessus dessous : debout, assis ou encore couchés…
Et dans les assiettes…
Le menu d’un traiteur régional, proposant une cuisine artisanale avec des produits locaux.
5
Laissez-vous emporter par l’atmosphère poétique que vous offre une formidable artiste équestre, accompagnée par des musiciens et danseuses de talent et appréciez le savoir-faire des agents et chevaux du Haras national de Pompadour dans l’univers d’un bâtiment de mur de pierre datant du début du 19ème siècle.
Témoignage d’une spectatrice lors du reportage de TF1 en 2012:
« C’est très sympathique, très original. Le fait de manger à côté des chevaux c’est très sympa ! Les enfants adorent ! »
Et d’un spectateur durant le même reportage :
« Les trois contextes ensemble sont agréables. C’est vrai que le repas, plus le cheval, plus la musique, entre les trois, on passe une belle soirée. »
6
Un mélange artistique explosif qui met en lumière la plus belle conquête de l’homme
Le Haras national de Pompadour a un incroyable talent :
Cette année, nous retrouvons avec grand plaisir Lorelei, l’artiste en résidence au Haras de Pompadour, choisie pour son talent reconnu dans la région et la magie qu’elle dégage avec ses trois chevaux :
– Yankee : un paint horse de 13 ans
– Sereno : un espagnol barbe de 7 ans
– Sarango : un entier espagnol de 7 ans
Lorelei est une jeune femme suisse de 24 ans. Elle est artiste en résidence depuis maintenant trois ans au sein du Haras.
Quatre questions à Lorelei :
– Comment êtes-vous arrivée jusque sur les terres de la Marquise ?
« J’ai débuté l’équitation à l’âge de 10 ans, avec une approche western, puis, quelques années plus tard, je me suis dirigée vers la voltige classique dans un premier temps, puis vers la voltige cosaque dans un deuxième temps. Tout naturellement, je me suis initiée aux spectacles équestres avec sept autres jeunes, grâce aux représentations données pendant les concours organisés dans la structure équestre. J’ai alors trouvé ma voie et n’ai cessé de préparer des numéros associant voltige cosaque, Poste hongroise et liberté, disciplines dans lesquelles, pour la plupart, je suis autodidacte.
C’est ainsi qu’en 2009, je me suis lancée dans l’aventure du festival Equestria, le festival de création équestre en Europe où j’ai eu le bonheur devant 3000 personnes, de remporter parmi 10 finalistes, le trophée « Piste ouverte », trophée ouvert aux amateurs de spectacles équestres. C’est grâce à cela que Fabien Galle, fervent soutien à l’art équestre (Equestria, les Crinières d’Or,…) est entré en contact avec moi pour me proposer le statut d’artiste en résidence au Haras national de Pompadour. Je suis alors, avec plaisir, devenue professionnelle du spectacle équestre. »
– Parlez-nous de vos chevaux, de vos journées types et de la préparation de vos spectacles, en collaboration avec les autres artistes.
« Je vais commencer par vous parler de Yankee, mon cheval de coeur, mon premier cheval. Je l’ai acheté à l’âge de cinq ans, à la base, je souhaitais en faire un cheval de ballades. Il avait été débourré à deux ans et était utilisé pour travailler le bétail ou pour des randonnées. Bien loin du spectacle, ce cheval était au contraire éteint, il pouvait passer des heures, immobile et désintéressé.
Mais petit à petit, lorsque mes projets de spectacles équestres se sont étoffés, je me suis rendue compte que je devais le réanimer et en faire un cheval de spectacle. Après un an de dur travail avec lui, je l’ai mis à la voltige et ce vieux complice m’a accompagnée pour Equestria et ouvert les portes de Pompadour, où il me suit encore aujourd’hui.
Passons à Sereno. J’ai eu ce cheval à l’âge de cinq ans, je suis tombée sur lui par le plus grand des hasards et ses « yeux de biche » m’ont tout de suite attendrie. A la fois délicat et sensible, c’est ce qui fait, pour un cheval de spectacle, sa meilleure qualité, mais aussi son pire défaut. Il faut le « vouvoyer », sa sensibilité en fait un cheval très bon élève, je pratique d’ailleurs toutes les disciplines avec lui, mais si tout ne se déroule pas parfaitement, il devient nerveux.
Enfin, le petit dernier, l’entier Sarango. C’est mon cheval d’avenir, en véritable guerrier, il n’a peur de rien. Entier « rois », ce petit bout de cheval est franc et intelligent, et je l’introduis dans le spectacle petit à petit, sur les numéros de dressage classique et de liberté notamment.
7
Une journée type ? Le matin, c’est moi qui m’occupe de faire le box et de nourrir mes chevaux, et oui ! Je les gère de A à Z, cela entretient la complicité. Ensuite, je les fais travailler sur les disciplines les plus physiques : le dressage ou encore la voltige. L’après-midi, pendant qu’ils se reposent dans les paddocks mis à disposition par le Haras, de mon côté, j’effectue les tâches administratives, je fabrique les costumes ou encore crée les assemblages musicaux. Enfin, le soir, nous terminons sur la répétition des numéros en liberté afin de finir sur une note plus douce…
Enfin, en ce qui concerne la collaboration avec les autres artistes, musiciens et danseuses, ou encore avec les agents du Haras, il s’agit là de mutualiser les idées, de créer tous ensemble et surtout, de se compléter par des points de vue très différents. C’est en quelque sorte la confrontation de plusieurs univers qui nous fait avancer et qui produit cette alchimie qui révèle un spectacle pour tous les goûts ! »
– Parlez-nous un peu de ce lieu le Haras national de Pompadour.
« Ce lieu, c’est simple, je le définirais par : « Wahoo ! » c’est incroyable, dans une si petite ville, la concentration d’infrastructures de si grandes qualités. Je vous avoue même que lorsque je suis arrivée ici, je me suis dit que j’avais vraiment de la chance et je me demandais même si tout ça était réel car comme vous avez pu le comprendre, tout ceci s’est enchaîné pour moi à un rythme soutenu !
De plus, je suis arrivée à un moment très propice car la volonté du Haras était de professionnaliser ses représentations, notamment pour les cabarets.
Enfin, j’ajouterais que cette expérience est une opportunité immense également pour la formation de jeunes chevaux de spectacles. En effet, le Haras national de Pompadour, très dynamique, propose des animations tout au long de l’année et cela me permet de répéter, dans les meilleures conditions, mes numéros pour les cabarets. Cela me permet de montrer le public aux chevaux, mais aussi d’ajuster mes numéros selon les réactions des spectateurs à leur égard. »
– Et pour le futur ?
« J’aimerais mettre l’accent sur le dressage classique et proposer des numéros de Haute Ecole. J’aimerais également développer la partie comportementale, l’éthologie, me diriger dans cette voie serait mon plus grand plaisir ! »
Un petit peu de vocabulaire :
Voltige classique : voltige avec un surfaix et un tapis, le cheval est tenu en longe.
Voltige cosaque : voltige avec une selle, le cheval est en liberté.
Poste Hongroise : numéro où le cavalier est debout sur un ou plusieurs chevaux.
8
Une troupe qui « M à danser » :
La troupe des danseuses des Cabarets équestres est composée de sept danseuses faisant partie de l’association « M à danser ». Elles sont spécialisées en modern et Broadway jazz, en cabaret et en danse classique.
Les danseuses présentes pour assurer le spectacle des Cabarets équestres 2013 sont : Bérangère-professeur de danse et chorégraphe ; Karina-professeur de danse, de claquettes et de zumba à Pompadour / chorégraphe ; Scarlett-professeur de danse et chorégraphe à Brive la Gaillarde ; Valérie-danseuse et chorégraphe ; Laura-danseuse ; Audrey-danseuse ; Lise-danseuse.
Contacts :
Association « M à danser »
Scarlett : 06 34 90 88 54
Karina Schodrok : 06 10 38 53 59
Donner une couleur musicale aux chevaux
Présent pour les saisons 2011 et 2012 des Cabarets équestres, l’orchestre ColOrJazz quintet renouvelle sa participation pour notre plus grand plaisir.
Le groupe s’est formé spécifiquement pour les Cabarets équestres du Haras national de Pompadour, afin de pouvoir s’adapter au mieux aux besoins de ce spectacle unique. Des créations spéciales sont donc dédiées au Cabarets équestres.
Il interprétera pour cette nouvelle édition des morceaux très variés afin d’accompagner les numéros équestres : d’Amélie Poulain en passant par du blues jazz, du rock et du French Cancan. De plus, cette année, ils ne se contenteront plus de rester en mezzanine…
Le ColOrJazz quintet provient du collectif d’orchestres de jazz Limousin, qui réunit une soixantaine de musiciens et plus de 10 formations, professionnelles et amateurs, dont deux big bands.
Contacts :
http://colorjazz.info – info@orjazz.info – 05 55 98 52 15
9
Les agents « très spéciaux » du Haras de Pompadour
Les agents du Haras feront la démonstration de leur savoir-faire historique au travers de numéros inédits spécialement conçus pour l’occasion : tandem, amazone, attelage, …
Ces agents, hommes et femmes piliers du Haras national, travaillent, toute l’année, aussi bien à l’élevage des chevaux, qu’à l’organisation des compétitions en passant par l’entretien des espaces et la valorisation des chevaux du domaine de Pompadour. Ces agents, très polyvalents sont au coeur de toutes les activités du Haras. C’est pourquoi ils sont également impliqués dans les cabarets où ils font la démonstration de leur habileté.
Voici un témoignage de Julie, agent du Haras national de Pompadour, présente dans le numéro d’amazone :
Julie : « Les cabarets nous permettent tout d’abord de valoriser notre savoir-faire d’hommes et de femmes de chevaux. Je travaille moi-même au Haras depuis maintenant sept ans et les cabarets me font découvrir encore une autre facette du monde du cheval, de travailler et de faire travailler nos animaux dans d’autres conditions. De plus, grâce à la confrontation des points de vue des danseuses, des musiciens, de Lorelei et de l’équipe qui organise, nous allons toujours plus loin dans l’originalité. Et ce qui ne gâche rien, c’est amusant ! »
10
Le positionnement des Cabarets équestres de Pompadour
Valoriser et perpétuer la tradition de l’art équestre
La production de spectacles équestres aux Haras nationaux remonte à une tradition de valorisation de leur patrimoine : les étalons, les sites, les voitures hippomobiles… Autrefois, la « promenade des étalons » ainsi que les rencontres « inter-haras » permettaient à des agents des Haras nationaux de venir de toute la France pour présenter les étalons ainsi que leur savoir-faire.
Cette tradition de représentation a évolué vers l’organisation de spectacles équestres qui a permis la collaboration des Haras Nationaux avec des artistes.
La qualité :
– Donner un gage de qualité en renouvelant l’expérience avec les acteurs qui ont fait la réussite des années précédentes tout en proposant une prestation totalement unique et originale chaque année.
– Proposer une prestation dans un lieu mythique : le manège de l’Orangerie. Mettre en valeur le patrimoine du Haras national de Pompadour, le rendre accessible et ludique au public en élargissant le panel des prestations artistiques dans la continuité des éditions précédentes et de l’art équestre.
La proximité :
– Acteur international, le Haras national de Pompadour n’en oublie pas pour autant son implantation dans la vie locale. C’est pourquoi, l’équipe en charge de l’événement a souhaité privilégier des partenariats et des collaborations avec des entreprises et prestataires de la région. C’est ainsi par exemple que le traiteur, implanté en Corrèze proposera un menu intégrant des produits locaux. A noter que danseurs et musiciens sont également des figures locales.
Le développement durable :
Le Haras national de Pompadour est site pilote de l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation sur les questions de développement durable.
S’appuyant en cela sur sa propre clause de développement durable présente dans son cahier des charges qui rappelle notamment la priorité d’utilisation de produits de saison et labellisés, de vaisselles réutilisables et une volonté d’affichage de cette démarche, le Haras utilise, pour ses cabarets, du papier PEFC, certifié issu de forêts gérées durablement.
11
Le Haras national de Pompadour
« Cité des chevaux et berceau de la race anglo-arabe ».
Plus de 160 jours de manifestations, dont 8 championnats de France, en 2013 !
Compétitions, nationales et internationales :
– Concours International Dressage : CDI ***
– Championnat de France CCE : Master pro, juniors et amateurs, 7 ans
– Grande semaine de Pompadour : Finales nationales complet jeunes chevaux et poneys CCE + finales nationales anglo-arabe
– Championnat de France Connemara et Arabe
Evénements culturels :
– Expositions
– Cabarets équestres
– Spectacles de noël
– Concerts
Formations :
– BPJEPS
– Modèles et allures
– Toilettage et préparation à la vente
– Accueil de stages
Visites : tout au long de l’année, libres ou guidées, agrémentées de présentations d’étalons, de démonstrations de maréchalerie, promenades en véhicules hippomobiles.
12
NOUS REMERCIONS NOS PARTENAIRES …
pour leur fidélité et leur soutien sans lesquels ce projet ne verrait pas le jour !
Les collectivités : Conseil Général de Corrèze, fidèle partenaire des cabarets depuis le début, le Conseil Régional, la communauté de communes du Pays de Pompadour
Les partenaires privés : un élargissement de l’offre des supports de communication a été mis en place cette année et reçoit jusqu’à présent un accueil favorable.