Le Temps d’aimer la danse 12 au 21 septembre 2014 Biarritz

Le Temps d’aimer la danse

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Direction artistique : Thierry Malandain

Organisation : Biarritz Culturel

 

 

Calendrier du festival :

 

Vendredi 12 Septembre,

 

 

21h, Gare du Midi : Ballet Royal de Flandre  – Direction artistique Assis Carreiro –

« Le retour  d’Ulysse – Christian Spuck

Cela fait vingt ans déjà que Pénélope attend le retour de son mari. Mais quand Ulysse est enfin de retour, elle ne le reconnaît plus…Ulysse revient par un des plus prolifiques chorégraphes allemands, à la réputation internationale ; Christian Spuck est depuis la saison 2012/13 le directeur du Ballet de Zurich.

 

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Chorégraphie Christian Spuck

Musique: Henry Purcell et chansons des années 1940 et 50
Soprano: Lenka Brazdilikova
Dramaturgie: Jens Schroth – Costumes: Emma Ryott – Création lumières: Peter van Praet

 

 

Samedi 13 septembre :

 

 

15 h, Parvis du Casino : Cie Entresols : « Let’s dance ! » Bal contemporain intergénérationnel et Rock & Roll

« Let’s Dance » est un événement festif, familial et Rock’n Roll, où le public est invité à danser et à s’approprier de courtes chorégraphies en duo, seuls ou en groupe, au son de standards de la musique Pop, Rock ou Funk .

Chorégraphe : Florence Peyramond Interprètes : Florence Peyramond et Cathy Petit.

 

 

17 h, Colisée : Dans le cadre du concours (Re)connaissance :

Dans des styles radicalement différents, les 3 lauréats du concours (Re)connaissance ont en commun cette élan d’avoir été repéré comme les chorégraphes de demain

–        Cie Tabea Martin (Suisse) : « Duet for two dancers »

–        Cie Betula Lenta – Maxence Rey : « Sous ma peau »

–        Cie Dance development/Anu Sistonen (Luxembourg) : « Against the flow »

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19h, Casino : La Coma « Cartel »

Une mise à nu radicale et rare de la communauté des danseurs, une transmission :  Jean Guizerix et Cyrille Atanassoff, deux anciens étoiles de l’Opéra de Paris, Romain di Fazio, jeune danseur classique, sur scène réunis par Michel Schweizer

 

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Conception,  scénographie  et  direction Michel Schweizer

création  lumière  Yves  Godin, conception  sonore Nicolas  Barillot

contribution  scénographique  Jeanne  Gillard  et  Nicolas  Rivet

adaptation  de l’œuvre Appendices de  Jeanne  Gillard  et  Nicolas  Rivet pour le  projet  Cartel sur  une  idée  de  Sèverine  Garat, curatrice, collaboration  artistique Cécile  Broqua

avec

Cyrille  Atanassoff,Romain  di Fazio,Jean  Guizerix,  Mael  Iger,  Dalila Khatir et Michel Schweizer

 

 

21h30 – En plein air – : Dantzaz

« Ni espioi » et « Few brief sequences » (Donostia- San Sebastian)

 

« Ni espioi » Dirigée par Jone San Martín, une équipe de quatre danseurs, chorégraphes et créateurs, unis par leur expérience commune à Francfort dans la Forsythe Company, réalisent ce travail de création chorégraphique avec les véritables protagonistes de ce projet, à savoir le public et les danseurs de « Dantzaz ».

« Few brief sequences » Jacek Przybylowicz – Musique: Marín Marais

 

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Dimanche 14 Septembre,

 

 

11 h, promenoir Grande Plage : Gigabarre

 

12 h 30, Esplanade du Casino : Lauréats du concours UPPA

 

 

17 h, Grande Plage : Cie Ex Nihilo : « Loin de là » Pièce pour 6 danseurs et 2 musiciens Sur la plage l’espace de représentation est infini. Les danseurs sont de petits personnages perdus dans cette immensité. Comme arrivés de nulle part, ils racontent une histoire de vent, sur des airs d’accordéon, d’horizon, l’attente d’un retour qui viendra de la mer, de trésors amenés par la marée.

 

Chorégraphie Anne Le Batard, Jean-Antoine BigotDanseurs Anne Le Batard, Jean-Antoine Bigot, Virginie Coudoulet-Girard, Anne Reymann, Rolando Rocha, Christoph Schütz/Jean-Marc FilletMusique Yves Miara, Pascal Ferrari

 

19 h, Casino : Ambra Senatore (Italie) : « Passo »

Troublant jeu de clones que cette pièce pleine d’esprit, Passo, interprétée par Ambra Senatore et quatre danseurs, tous juchés sur de hauts talons Même perruque noire, même robe moulant leur corps, même geste soigneusement chorégraphié, l’illusion est totale et l’identification impossible! Par une écriture fine et malicieuse, la chorégraphe italienne s’amuse plus que tout, avec une ironie contagieuse, à nous faire perdre nos repères

 

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Chorégraphie Ambra Senatore – En collaboration avec Caterina Basso, Claudia Catarzi, Matteo Ceccarelli, Elisa Ferrari, Tommaso Monza

 

 

21h, Gare du Midi : Cie Vilcanota – Blérots de Ravel : « L’homme d’habitude »

Concert dansé déconcertant,  fruit d’une formidable rencontre à la couleur rock affirmée, entre le groupe des Blérots de R.A.V.E.L et les danseurs de la Compagnie Vilcanota unis par la poésie et une bonne dose de folie pour former une seule et même tribu, prise dans un tourbillon jubilatoire décliné en diverses nuances (musette, planant, ska…)

 

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Chorégraphie et mise en scène : Bruno Pradet
4 danseurs en alternance : Christophe Brombin, Lucille Daniel, Céline Debyser, Bruno Pradet, Claire Vuillemin, Loriane Wagner
Musiciens : les Blérots de R.A.V.E.L : Camille Mayer, Claire Moulin, Arnaud Joyet, Franck Tilmant, Alice Noureux, Fred Joiselle, Yvan Ackermann

 

 

Lundi 15 septembre

 

 

19 h, Colisée : Cie Sébastien Perrault : « Nekyia »

Magnifique et solaire interprète Sébastien Perrault questionne  les abîmes de la Psychée, les images de l’inconscient, et met en mouvement la force de l’âme

 

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Chorégraphie et Interprétation: Sébastien Perrault  Musique: Frédéric Guillaume

 

 

21h, Casino : Mercedez Ruiz (Espagne) «  Baile de palabra »

Un chant, une guitare, une danse :  la nouvelle reine flamenca Mercedes  Ruiz approche le souffle du  flamenco dans son intimité. Avec son caractère bien trempé, la danseuse de Jerez se montre respectueuse de la tradition tout en ne se privant pas de planter ça et là quelques audacieuses banderilles de modernité…

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Chorégraphie, direction artistique et interprétation : Mercedes Ruiz
Guitare : Santiago Lara   Chant : David Carpio

 

 

Mardi 16 septembre :

 

 

19h, Colisée : Frédéric Werlé « Nijinskoff »

L’arrière petit-fils imaginaire et inventé de Nijinsky fait le point et c’est tout un chapitre universel sur la danse qui se déroule dans son one dancer show.

Un spectacle à muscler les zygomatiques.

 

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Conception et interprétation : Frédéric Werlé
Création Lumière : Pierre Montessuit

 

 

21h, Casino : Compagnie Dernière Minute – Pierre Rigal « Standards »

Pierre Rigal explore, par le biais hip-hop, la question de l’identité nationale pour que les couleurs du drapeau ne riment pas avec pensée unique.

 

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Conception, chorégraphie Pierre Rigal

Avec Julia Flot, Steve Kamseu, Sandrine Lescourant, Camille Regneault, Julien Saint-Maximin, Marie-Kaae Schmidt, Joël Tshiamala

Musique originale en direct Nihil Bordures

 

 

Mercredi 17 septembre :

 

 

19 h, Colisée : Kirsten Debrock : « Impostures »

A l’origine un travail en milieu carcéral, dans un quartier de femmes de la maison d’arrêt de Nice. Une danse qui questionne « les prisons gestuelles » du monde libre et ce qui nous emprisonne, nous hommes et femmes a priori libres. Une réflexion autour des modifications du corps et de l’esprit lorsqu’ils se retrouvent dans un espace confiné. Cette création ne porte pas sur le monde carcéral, et pourtant inévitablement, il s’en approchera. La liberté n’a-t-elle de sens que derrière des barreaux ?

 

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Chorégraphie Kirsten Debrock  Interprètes Damien Dreux Deborah Lary Thomas Régnier Lorane Wagner

Design sonore Olivier Soliveret

 

 

21h, Gare du Midi : CCN de Nantes Brumachon- Lamarche « Fulgurance du vivant »

Claude Brumachon offre au festival la création du dernier volet de son tryptique

Après avoir exploré les réminiscences du sauvage qui bouillonnent en nous avec « d’Indicibles Violences », je veux me concentrer sur quelque chose de plus radical, une danse qui ira s’exiler du côté du minéral et du végétal.
Comment mettre en relation la gestuelle mouvementée que l’on connaît avec ce que le minéral et le végétal implique de statique ? Du corps brut jaillit la matière première, bois et pierre, troncs et rochers, et les animaux qui les habitent, biche, grand-duc, papillon de nuit… Un tourbillon de passages fusant et ralentissant, du vivant au minéral, de la femme à l’homme, du danseur au spectateur.
Claude Brumachon

 

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Chorégraphie de Claude Brumachon pour 8 danseurs

 

 

Jeudi 18 septembre :

 

 

19h, Colisée : Compagnie Gilschamber « L’intrusion »

Une écriture chorégraphique précise, livrée aux interprètes et ouverte aux projections des spect-acteurs

L’Intrusion est un éloge de la danse écrite qui réinterroge par une gestuelle contemporaine une tradition académique. Une aventure artistique dans l’intime de la danse, le partage de l’espace, la proximité des corps.

L’Intrusion peut être aussi une danse d’improvisation, une proposition où le public est amené à partager l’espace scénique, la danse elle-même, à se faufiler entre les corps, à les toucher ou tout simplement à les contempler. C’est réellement permettre au public d’entrer à sa convenance dans le territoire dansé.

Gilles Schamber

 

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Chorégraphie Gilles Schamber

Le dispositif met en relation 4 danseurs professionnels et 3 groupes de volontaires constitués de 5 à 15 personnes chacun. Les quatre danseuses évoluent sur le plateau dans une gestuelle précise. Dans chaque séquence, un groupe différent intervient pour déambuler, improviser, chahuter la proposition dansée. Un vidéaste procède alors à une captation d’images.

 

 

21h, Casino : Compagnie Mad – Sylvain Groud « L’oubli » et « Bataille intime»  (Topor)

« Bataille intime»  Sur un texte de Roland Topor, Sylvain Groud et Bruno Bayeux réalisent un duo danse/théâtre. D’un côté la trivialité de la parole adressée cruellement au public donne à entendre la violence exhibitionniste du texte, et de l’autre côté, la poésie de la chorégraphie en donne la dimension philosophique intime et humaniste.

«  l’Oubli » Que serait le résultat d’un geste sans mémoire, du mouvement d’un danseur sans mémoire corporelle ?

 

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Bataille intime Chorégraphie Sylvain Groud – Texte Roland Topor Adaption du texte Bruno Bayeux – Musique Arnaud Le Mindu – Création lumière Patrick Riou – Metteur en scène par regard extérieur Yann Dacosta

Interprètes Bruno Bayeux, Sylvain Groud

L’Oubli Chorégraphie Sylvain Groud, Vava Stephanescu – Scénographie Sylvain Groud Musique Arvo Pärt fur Alina, Frédéric Borde – Création lumière Éric Guilbaud – Vidéo Laurent Matthieu

Interprètes Agnès Canova, Sylvain Groud

 

 

Vendredi 19 Septembre

 

 

19h, Casino : Cie Ando Danse – Davy Brun«  L’oiseau de feu »

Davy Brun s’appuie sur un conte russe recueilli par Alexandre Afanassiev : L’Oiseau de feu et le loup gris, histoire de personnages tiraillés par tous types de sentiments et réactions – confiance, mensonge, amour, trahison, haine et pouvoir.

« Avec cette pièce, j’ai eu envie d’interroger l’image du « Ballet. Un des attraits de la pièce réside dans la multitude des symboles convoqués pour parler de la relation d’un prince avec une princesse. Mon idée a donc été de ne pas éluder la chair du conte mais de l’incorporer à un projet d’aujourd’hui, de recartographier le chemin initiatique du désir en revisitant l’argument universel de la représentation romantique : la relation impossible entre deux êtres qui s’aiment.

Dans cette relecture, je souhaite repositionner un ballet classique dans notre présent sans en changer la structure principale. Ce sera une version néo-contemporaine par son esthétique, son vocabulaire et l’utilisation de son histoire. » Davy Brun

 

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Pièce pour 8 danseurs

Chorégraphie Davy Brun Musique Igor Stravinski

Dramaturgie Catherine Ailloud-Nicolas Scénographie Bruno de Lavenère

Lumières David Debrinay

 

 

21h, Gare du Midi : Cie Nationale de Danse Contemporaine de Norvège

« Not here / Not ever »

Une rencontre éblouissante, sauvage et magique, émergeant de multiples inspirations culturelles. : Un chorégraphe tibétain, Sang Jijia, ancienne étoile de Forsythe et une compagnie norvégienne réputée pour son  énergie intense

« Le titre Not here/ Not ever me donne l’opportunité d’explorer des situations où nous savons que nous devons changer mais ignorons les conséquences que ce changement va provoquer» Sang Jijia.

Chorégraphe Tibétain Chinois reconnu et primé, Sang Jijia est artiste résident de la BeijingDance / LDTX et de la Guangdong Modern Dance Company depuis 2007. Fort de son expérience de danseur et chorégraphe au sein de la prestigieuse William Forsythe Company (2002 à 2006), il a su associer l’esthétique orientale avec l’expression et l’interprétation singulière de Forsythe en termes d’art visuel, d’architecture et de multimédia. Depuis mai 2013, Jijia a désormais adapté ce style à la Compagnie nationale norvégienne de danse contemporaine, Carte Blanche.

 

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Pièce pour 14 danseurs

Chorégraphie Sang Jijia – Création musicale Dickson Dee

 

 

Samedi 20 Septembre

 

 

16 h, Phare de Biarritz : Cie La Bonne Etoile : « Diatiguiya ou l’hospitalité»

Accessible et joyeux, ce spectacle traverse les frontières : celles des espaces, des différences et des cultures afin de  partager un moment poétique. En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. Nelson Mandela

Timothé Mohamed Ballo : danseur, comédien
Stéphane Fesnard : comédien danseur
Karine Vayssettes : collaboratrice a la mise en scène et photos

 

 

18h, Colisée : Compagnie Samuel Mathieu « La dynamique des émotions »

Un parcours au travers des œuvres de Pierre Soulages et d’Yves Klein, comme une exploration des émotions, attisée par la couleur, et une danse rythmée, intense et ludique

 

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Jeune Public – Pièce pour 3 danseurs – Chorégraphe : Samuel Mathieu

Interprètes : Maxime Guillon Roi Sans Sac, Yuta Ishikawa, Anaïs Replumaz

Création Lumière : Myriam Bertol

 

 

19h, Casino : Compagnie Maryse Delente  « Emzara »

Le Requiem de Mozart, sa puissance divine, pour ce manifeste en faveur d’une Nature bafouée. Emzara, c’est le nom donné à Noé dans le livre des Jubilés, Noé qui construit son arche pour sauver les espèces animales du déluge. Pour Maryse Delente, un nouveau déluge est en marche : celui de la violence de la société humaine envers elle-même et envers la nature.
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Chorégraphie : Maryse Delente – Assistante artistique : Sandrine Laval – Lumières : Sébastien Lefèvre – Conception vidéo : Stéphane Broc – Musique : Requiem de Mozart – Costumes : Emmanuelle Tabailloux
Avec : Sarah Cernaux, Yuika Hokama, Pauline Journé, Manon Poulet, Fanny Sage, Sandra Sanglar, Coline Siberchicot

 

 

Dimanche 21 Septembre

 

 

11 h, promenoir Grande Plage : Gigabarre

 

 

12 h 30, Esplanade du Casino : centre de formation Gillet – Lipszyc

 

 

17 h, Place Bellevue : Cie Lasala (Donostia-San Sébastian) : « Hooked  »

Judith Argomaniz et Diego Hernández ont joint leur expérience de la danse et de la photographie pour créer la compagnie Lasala en 2012. Ils s’expriment en un langage physique et un style contemporain tout en affirmant la volonté de tenir compte des préoccupations de l’équipe.

Sa première pièce,  Hooked (2013),  a  été récompensée dans divers concours nationaux et internationaux

Chorégraphe: Judith Argomaniz.
Interprète(s): Jaiotz Osa, Judith Argomaniz.
Musique/son: Fink, Pan Sonic, Wolfgang Amadeus Mozart. Éclairage: Chencho Orta

 

 

21h, Gare du Midi : Compagnie Pietragalla – Derouault  « M. et Mme Rêve » (Ionesco)

« Tout ce que nous rêvons est réalisable » : inspirée par l’œuvre d’Eugène Ionesco, une fiction cino- chorégraphique  entre immense jeu vidéo et saga fantastique sur une bande son du DJ Laurent Garnier

Et si la réalité virtuelle immersive et les technologies de simulation utilisées au quotidien dans l’industrie permettaient d’inventer un nouveau langage scénique au service de l’imaginaire ? La réponse se trouve à la croisée de l’art, de la science et de la technologie. Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault, avec une équipe d’ingénieurs-créatifs, ont crée un spectacle d’un genre nouveau, donnant à voir et sentir l’irréalité virtuelle, celle de l’imaginaire.

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Artistes : Marie Claude Pietragalla, Julien Derouault
Metteur en scène : Marie-Claude Pietragalla, Julien Derouault

Son DJ Laurent Garnier

 

 

Informations Pratiques

Organisation : Biarritz Culture

Renseignements : Biarritz Culture

Place des Résistants. – BP 30185 – 64204 Biarritz Cedex

Tél : 05 59 22 20 21

E-mail : biarritz-culture@wanadoo.fr

Site : www.letempsdaimer.com

Réservations :

– Office de Tourisme de Biarritz : Square d’Ixelles 64200 Biarritz

Réservations par téléphone tous les jours : Tél. 05 59 22 44 66

Possibilité de paiement par carte Bleue visa.

– Fnac, Virgin, Carrefour, Centre Leclerc

 

Sur internet

www.letempsdaimer.com

www.biarritz.fr : rubrique accès direct : Billetterie en ligne

Ticketnet/Virgin-Leclerc : www.ticketnet.fr Tel. 0892 390 100 (0,34 euros /minute)

Fnac- Carrefour- Géant (www.fnac.com) -Tél. 0892 683 622 (0,34 euros /minute)

 

et  Gare du Midi : Accueil du Festival et Billetterie du 12 au 21 septembre

de 11h à 17h30,

Et le soir des spectacles à la Gare du Midi de 19h à 21h.

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