Nâdiya est une artiste majeure de la scène pop française. Après un titre de championne de France en athlétisme, elle a été au premier rang de l’univers musical.
Avec plus de 5 millions d’albums et singles vendus, Nâdiya a offert d’innombrables tubes, parfois internationaux, comme Et c’est Parti, Parle moi, Roc, Si loin de vous, Tired of being sorry, avec Enrique Iglesias.
Contre toute attente, c’est sur cet énorme succès que l’artiste a décidé de faire un break…. Un break essentiellement médiatique, car Nâdiya a continué de se produire aux quatre coins de la planète et d’expérimenter artistiquement, en vue de donner le meilleur d’elle-même à son public pour préparer son retour. A son rythme. Loin des feux de la rampe, mais plus proche des siens.
Elle revient donc en 2017 avec un premier single, Unity, annonciateur d’un album « urban pop » porteur d’énergie communicative, de valeurs positives, chères à la chanteuse.
Avec Unity, Nâdiya effectue un come back plein de sens, en pleine cohérence avec ses valeurs humanistes. L’actualité ne manque de sujets de divergences, en France comme ailleurs, si bien que nous perdons de notre lucidité quand tout pourrait nous rassembler. C’est sous cet éclairage que Nâdiya nous offre le titre Unity.
Le message d’Unity se veut salutaire et, dans la forme, épouse un thème universel comme on retrouve dans le reggae grâce entre autre à Bob Marley. Et quoi de mieux qu’une «world music urbaine» pour une chanson prônant les vertus de l’unité ?
Le son est festif, dansant, introduit par des marimbas tribaux, pour mieux nous plonger dans une ambiance club animée d’un unique credo « love and unity ». La musique étant source de partage, nulle raison de ne pas céder à cette contagieuse invitation. Et, comme le prône Nâdiya, artiste qui a désormais créé son propre label N4Z Records (distribué chez Wagram) : « Passe donc le message à ton entourage ! »