LE PANTHEON du 11 Juin au29 Septembre 2024
LE PANTHEON
« Le Panthéon, dans la lignée de sa vocation de construction de la citoyenneté
et d’une programmation sur des sujets de société, présentera de juin à septembre,
une exposition sur l’histoire du Paralympisme. Le patrimoine comme le sport sont à la fois
des héritages et des creusets d’expériences partagées, à réinventer en permanence,
à l’échelle individuelle comme à l’échelle collective ».
Marie Lavandier
Présidente du Centre des monuments nationaux.
Alors que l’année 2024 marque l’accueil en France des Jeux Olympiques (26 juillet – 11 août) et
Paralympiques (28 août – 8 septembre) de Paris – une première depuis 100 ans – le Centre des
monuments nationaux a souhaité, dans le cadre de sa programmation liée à l’Olympiade culturelle,
mettre en lumière l’histoire d’un combat pour l’émancipation et l’égalité. Au Panthéon, où reposent
les grandes personnalités qui ont mérité la reconnaissance de la patrie par leur engagement citoyen
ou leur défense des valeurs républicaines, l’exposition Histoires paralympiques évoque celles et ceux
qui, par leur rôle au sein du mouvement paralympique, ont su écrire une histoire fondée sur la fierté
de la différence et la revendication d’une société plus inclusive. L’exposition Histoires paralympiques
fait ainsi écho aux grands hommes et aux grandes femmes, ici en particulier Louis Braille, inventeur
de l’écriture tactile, entré au Panthéon en 1952.
Apparus à la moitié du XXe
siècle, les Jeux paralympiques ont connu un essor important et bouleversé
notre perception des personnes handicapées. Le
CMN a choisi de consacrer à l’histoire de ce mouvement militant une exposition exceptionnelle mêlant
archives, affiches, photographies, matériels sportifs, objets et documents audiovisuels. L’enjeu est
de mettre en évidence d’une part le processus d’intégration progressive d’athlètes ayant une diversité
de handicaps et, d’autre part, la mutation des discours, images et matériels associés aux pratiques
compétitives.
L’exposition est organisée selon une logique chronologique mettant au jour quatre grands moments :
• 1948-1960 : Les Jeux « hospitaliers » sont organisés à l’intérieur de l’hôpital de Stoke Mandeville,
au Royaume-Uni, où le Dr Ludwig Guttmann initie
le mouvement à partir d’une expérience innovante
de promotion d’un sport rééducatif : une « Journée
sportive » de compétition de tir à l’arc le 29 juillet
1948, jour de l’ouverture des Jeux olympiques de
Londres.
L’Amicale sportive des mutilés de France (ASMF)
participe à ces Jeux pour la première fois en 1955,
un an après sa création au sein du cercle d’anciens
combattants « Rhin et Danube ». Les fondateurs
de l’Amicale sont pour la plupart des amputés.
Jusqu’en 1960, les « Jeux de Stoke » constituent un
rassemblement international de plus en plus important, uniquement pour les personnes en fauteuil
roulant.
• 1960-1989 : Les premiers Jeux « para-olympiques »
de Rome, en 1960, demeurent réservés aux blessés
médullaires en fauteuil roulant. Mais progressivement, les personnes amputées, puis aveugles et
malvoyantes (Jeux de Toronto en 1976), obtiennent
leur participation officielle. Il faudra attendre 1984
et les Jeux de New York pour l’intégration des sportifs ayant une infirmité motrice cérébrale.
La création du Comité International Paralympique
(IPC) en 1989 marque la volonté de réunir finalement toutes les formes de handicap.
Alors que l’année 2024 marque l’accueil en France des Jeux Olympiques (26 juillet – 11 août) et
Paralympiques (28 août – 8 septembre) de Paris – une première depuis 100 ans – le Centre des
monuments nationaux a souhaité, dans le cadre de sa programmation liée à l’Olympiade culturelle,
mettre en lumière l’histoire d’un combat pour l’émancipation et l’égalité. Au Panthéon, où reposent
les grandes personnalités qui ont mérité la reconnaissance de la patrie par leur engagement citoyen
ou leur défense des valeurs républicaines, l’exposition Histoires paralympiques évoque celles et ceux
qui, par leur rôle au sein du mouvement paralympique, ont su écrire une histoire fondée sur la fierté
de la différence et la revendication d’une société plus inclusive. L’exposition Histoires paralympiques
fait ainsi écho aux grands hommes et aux grandes femmes, ici en particulier Louis Braille, inventeur
de l’écriture tactile, entré au Panthéon en 1952.
« Le Panthéon, dans la lignée de sa vocation de construction de la citoyenneté
et d’une programmation sur des sujets de société, présentera de juin à septembre,
une exposition sur l’histoire du Paralympisme. Le patrimoine comme le sport sont à la fois
des héritages et des creusets d’expériences partagées, à réinventer en permanence,
à l’échelle individuelle comme à l’échelle collective ».
Marie Lavandier
Présidente du Centre des monuments nationaux
Le Japonais Toshio Aono prêtant serment au cours de la
cérémonie d’ouverture. Tirage argentique (reproduction), 1964.
Collections du Musée national du Sport, Nice
3
Affiche des Jeux paralympiques de Sydney 2000
Collections du Musée National du Sport, Nice
Marc Cinello. Jeu de basket-ball en fauteuil. Tirage argentique
(reproduction), 1966. Collections du Musée national du Sport, Nice,
L’accessibilité de l’exposition et de ses contenus à tous
les publics et particulièrement aux publics en situation
de handicap, est un enjeu majeur.
La scénographie est pensée pour assurer un confort
de visite pour tous : hauteur des mobiliers, inclinaison
des écrans, espaces de circulation adaptés.
Elle intègre des stations de consultation en position assise pour l’écoute de contenus audio (portraits sonores
d’athlètes et textes de l’exposition lus) ainsi qu’un espace dédié à la consultation de vidéos en Langue des
signes française et en Langue des signes internationale.
Un parcours multi sensoriel est proposé au fil de l’exposition. Des dessins tactiles et des objets à toucher,
accompagnés de légendes en braille et gros caractères, ponctuent le parcours.
Des contenus en audiodescription sont accessibles via
des QR codes facilement repérables.
Les textes de l’exposition sont traduits dans des vidéos
en Langue des signes française (LSF) et en Langue des
signes internationale (IS), disponibles via des QR codes tout au long du parcours et sur un écran dédié.
Tous les documents audiovisuels sont sous-titrés en
français et en anglais.
Un livret d’accompagnement à la visite en français facile à lire et à comprendre (FALC) est mis à la disposition des visiteurs qui le souhaitent, sur demande à
l’accueil.
En parallèle de l’exposition, la visite virtuelle de la
crypte du monument est présentée sur un dispositif de
consultation adapté aux personnes à mobilité réduite.
1989-2012 : Une troisième période commence,
celle d’un nouveau paralympisme qui cherche à
s’élargir et à rassembler toutes les fédérations
sportives internationales représentant des sportifs
avec différents types de déficience ou d’in/capacité, ouvrant la porte aux sportifs sourds et à ceux
ayant des déficiences intellectuelles.
Apparaissent alors de nouveaux imaginaires et de
nouvelles figures paralympiques, tels le « paralympien hybride technologique » (surhumain hyperperformant). L’histoire du mouvement paralympique et
de ses Jeux est donc aussi celle de la mise en lien et
du regroupement de sportifs singuliers ; une histoire
de rencontres, d’adaptations, d’ingéniosité et d’innovations permanentes pour créer les conditions
de l’équité dans des compétitions rassemblant des
sportifs aux in/capacités extrêmement diverses.
Depuis 2012 : Les Jeux de Londres en 2012 marquent
un point de bascule vers une grande démonstration de
l’inclusion et de la fierté où les médias s’emparent des
Jeux Paralympiques pour mettre en scène des performances sportives d’un genre inédit, affirmé notamment avec le slogan « Rencontrer les superhumains ».
Ces Jeux permettent également la réintégration des
athlètes avec déficience intellectuelle dans trois
sports : la natation, le tennis de table et l’athlétisme,
tandis que ceux de Tokyo en 2021 voient l’apparition
de nouveaux para-sports – le parabadminton et le
parataekwondo – et l’émergence de nouvelles figures
paralympiques telles Terezinha Guilhermina ou MarieAmélie Le Fur qui concourt équipée d’un Flexfoot.
L’évolution des mascottes paralympiques révèle la
possibilité d’exhiber désormais un appareillage sportif
prothétique avec fierté.
1989-2012 : Une troisième période commence,
celle d’un nouveau paralympisme qui cherche à
s’élargir et à rassembler toutes les fédérations
sportives internationales représentant des sportifs
avec différents types de déficience ou d’in/capacité, ouvrant la porte aux sportifs sourds et à ceux
ayant des déficiences intellectuelles.
Apparaissent alors de nouveaux imaginaires et de
nouvelles figures paralympiques, tels le « paralympien hybride technologique » (surhumain hyperperformant). L’histoire du mouvement paralympique et
de ses Jeux est donc aussi celle de la mise en lien et
du regroupement de sportifs singuliers ; une histoire
de rencontres, d’adaptations, d’ingéniosité et d’innovations permanentes pour créer les conditions
de l’équité dans des compétitions rassemblant des
sportifs aux in/capacités extrêmement diverses .
L’accessibilité de l’exposition et de ses contenus à tous
les publics et particulièrement aux publics en situation
de handicap, est un enjeu majeur.
La scénographie est pensée pour assurer un confort
de visite pour tous : hauteur des mobiliers, inclinaison
des écrans, espaces de circulation adaptés.
Elle intègre des stations de consultation en position assise pour l’écoute de contenus audio (portraits sonores
d’athlètes et textes de l’exposition lus) ainsi qu’un espace dédié à la consultation de vidéos en Langue des
signes française et en Langue des signes internationale.
Un parcours multi sensoriel est proposé au fil de l’exposition. Des dessins tactiles et des objets à toucher,
accompagnés de légendes en braille et gros caractères, ponctuent le parcours.
Des contenus en audiodescription sont accessibles via
des QR codes facilement repérables.
Les textes de l’exposition sont traduits dans des vidéos
en Langue des signes française (LSF) et en Langue des
signes internationale (IS), disponibles via des QR codes tout au long du parcours et sur un écran dédié.
Tous les documents audiovisuels sont sous-titrés en
français et en anglais.
Un livret d’accompagnement à la visite en français facile à lire et à comprendre (FALC) est mis à la disposition des visiteurs qui le souhaitent, sur demande à
l’accueil.
En parallèle de l’exposition, la visite virtuelle de la
crypte du monument est présentée sur un dispositif de
consultation adapté aux personnes à mobilité réduite.
1989-2012 : Une troisième période commence,
celle d’un nouveau paralympisme qui cherche à
s’élargir et à rassembler toutes les fédérations
sportives internationales représentant des sportifs
avec différents types de déficience ou d’in/capacité, ouvrant la porte aux sportifs sourds et à ceux
ayant des déficiences intellectuelles.
Apparaissent alors de nouveaux imaginaires et de
nouvelles figures paralympiques, tels le « paralympien hybride technologique » (surhumain hyperperformant). L’histoire du mouvement paralympique et
de ses Jeux est donc aussi celle de la mise en lien et
du regroupement de sportifs singuliers ; une histoire
de rencontres, d’adaptations, d’ingéniosité et d’innovations permanentes pour créer les conditions
de l’équité dans des compétitions rassemblant des
sportifs aux in/capacités extrêmement diverses.
Depuis 2012 : Les Jeux de Londres en 2012 marquent
un point de bascule vers une grande démonstration de
l’inclusion et de la fierté où les médias s’emparent des
Jeux Paralympiques pour mettre en scène des performances sportives d’un genre inédit, affirmé notamment avec le slogan « Rencontrer les superhumains ».
Ces Jeux permettent également la réintégration des
athlètes avec déficience intellectuelle dans trois
sports : la natation, le tennis de table et l’athlétisme,
tandis que ceux de Tokyo en 2021 voient l’apparition
de nouveaux para-sports – le parabadminton et le
parataekwondo – et l’émergence de nouvelles figures
paralympiques telles Terezinha Guilhermina ou MarieAmélie Le Fur qui concourt équipée d’un Flexfoot.
L’évolution des mascottes paralympiques révèle la
possibilité d’exhiber désormais un appareillage sportif
prothétique avec fierté.
PAROLES DE SPÉCIALISTES
« Le mouvement paralympique crée les conditions d’une émancipation des personnes
“autrement capables”. Le sport offre la possibilité d’une visibilité sociale certaine
et devient un espace efficient du point de vue de la transformation des imaginaires collectifs.
Je pense particulièrement à Louis Braille, qui repose au Panthéon. Il est un des précurseurs
de l’émancipation par l’instruction, par l’école, des personnes ayant des déficiences
visuelles au travers d’une innovation technique. »
« Ces athlètes de haut niveau
que nous admirons aujourd’hui sont
le fruit d’une histoire et d’un combat
militant qui a construit les conditions
de possibilité de la reconnaissance.
De grandes femmes et de grands
hommes sportifs, médaillés
paralympiques, des individus
qui n’avaient pas naturellement
accès à ces statuts l’ont écrite.
Cette exposition dévoile de nouveaux
héros qui incarnent la réussite
et la valeur sociale dans la diversité. »
Maitre de conférences (HDR), Directeur-adjoint
du laboratoire « Santé, éducation, situations de
handicap » (Santésih), Université de Montpellier.
Co-commissaire de l’exposition.
Vainqueur d’une course aux Jeux paralympiques de Séoul 1988. Tirage argentique
(reproduction), 1988. Collections du Musée National du Sport, Nice
« Si le mouvement paralympique change le regard, il change aussi notre manière de penser
le handicap avec des classifications selon des logiques fonctionnelles. L’exposition est aussi là
pour montrer des dirigeants sportifs qui ont structuré ce mouvement et ont eu un engagement
social très fort avec des répercussions bien au-delà de la seule compétition sportive. »
Anne Marcellini
Professeure associée, Faculté des Sciences Sociales et Politiques, Université de Lausanne, Suisse.
Co-commissaire de l’exposition.
LE CMN À L’HEURE DES JOP
Le Centre des monuments nationaux, avec ses
cent-dix monuments datant de la Préhistoire au
XXe
siècle, est souvent là où on ne l’attend pas. Il
crée de nouveaux usages pour ses monuments,
off re à ses onze millions de visiteurs annuels une
programmation artistique et culturelle ambitieuse
et inédite, partage ses expertises avec le monde
professionnel, notamment grâce à l’Incubateur du
Patrimoine qui soutient et accompagne les start up
du patrimoine.
Cette année encore, le Centre des monuments
nationaux surprend, en s’inscrivant résolument
dans le mouvement olympique, avec une
programmation illustrant la grande richesse de ce
que les équipes de l’établissement ont conçu sur
l’ensemble du territoire pour accompagner les Jeux
Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Réalisant un véritable tour de France, la Flamme
Olympique traversera près de vingt des monuments
emblématiques du CMN, dont le Panthéon.
Quant à La Flamme Paralympique, suite à son arrivée
sur les côtes françaises à Calais, elle se divisera en
12 Flammes réparties aux confi ns de l’Hexagone.
Elles symboliseront l’énergie des 12 jours des
premiers Jeux Paralympiques d’été en France : la
journée d’allumage de la vasque le 28 août 2024 et
les 11 jours de compétition. Ces Flammes brilleront
au sein de certains sites et jardins du Centre des
monuments nationaux, à savoir : Les tours de la
Cathédrale de Chartres et de la cathédrale
d’Amiens, le domaine national de Saint-Cloud,
la basilique cathédrale de Saint-Denis, la
colonne de juillet, place de la Bastille, l’Hôtel
de Sully, et l’Hôtel de la Marine.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques,
sur la Seine, permettra quant à elle un éclairage
planétaire à la Conciergerie, à la Sainte-Chapelle
et aux tours de Notre-Dame.
Le Centre des monuments nationaux a souhaité
aussi s’impliquer dans l’Olympiade Culturelle : il
proposera notamment trois créations artistiques
exceptionnelles pour l’Abbaye du Mont SaintMichel (La tentative du ciel par la Compagnie
Hors-Surface), le Château d’If (Room with a view
de la Compagnie La Horde avec les élèves du ballet
national de Marseille et la compagnie Grenade)
et le Château et les remparts de Carcassonne
(Les Guetteurs d’horizon par la Compagnie
Retouramont).
La riche programmation orchestrée par le Centre
des monuments nationaux investit les grands
monuments parisiens tels le Panthéon (le spectacle
de danse Möbius Morphosis de Rachid Ouramdane
& la Compagnie XY en partenariat avec Chaillot –
Théâtre national de la Danse, mais aussi un concert
de l’Orchestre de Chambre de Paris à la veille de la
clôture des Jeux paralympiques) et l’Hôtel de la
Marine (Fresque lumineuse et participative sous
la direction artistique de Muma Soler) et des sites
remarquables dans toute la France.
Enfi n, les éditions du Patrimoine, maison d’édition
du Centre des monuments nationaux, ont publié
fi n 2023 un beau livre sur le patrimoine du sport de
l’Antiquité à nos jours et consacreront un volume de
la collection Carnets d’architecture à l’architecture
olympique en France de 1924 à 2024.
Mécènes de l’exposition : cette exposition bénéfi cie du soutien du groupe Safran, du Fonds Handicap
& Société, et de la Fondation Visio pour les enfants et les adultes défi cients visuels.
INFORMATIONS PRATIQUES
Modalités de visite
Réservation conseillée sur le site
Panthéon, Paris (monuments-nationaux.fr)
Nombre de visiteurs limité.
Les visiteurs sont invités à consulter en amont de leur visite le
site Panthéon, Paris (monuments-nationaux.fr)
où les modalités de visite sont mises à jour.
Horaires
Ouvert tous les jours
Du 1er avril au 30 septembre : 10h – 18h30
Du 1er octobre au 31 mars: 10h – 18h
Dernier accès 45 minutes avant la fermeture.
Fermeture : 1er mai.
Tarifs
Tarif individuel : 11,50 €
Tarif Groupe : 9 €
Gratuité
Moins de 18 ans (en famille et hors groupes scolaires)
18-25 ans (ressortissants de l’Union Européenne
et résidents réguliers non-européens sur le territoire
de l’Union Européenne)
1
er dimanche du mois de janvier à mars et de novembre
à décembre
Personne handicapée et son accompagnateur
Demandeur d’emploi, sur présentation d’une attestation
de moins de 6 mois, bénéficiaires RMI, RSA, aide sociale
Journalistes
Billet jumelé Basilique Saint-Denis + Panthéon :
Tarif individuel 16€
Tarif groupe 13 €
Tarifs groupe scolaire
En visite libre 40€
En visite pédagogique
Parcours découverte (1h30): 90€/40€ (REP/
ZEP) 35 élèves max et 5 accompagnateurs
inclus Parcours découverte champ social
(1h30): 40€ –
20 personnes max
Visite-atelier (2h): 130€/60€ (REP/ZEP)
35 élèves max et 5 accompagnateurs inclus
Visite-atelier champ social (2h): 60€ –
20 personnes max
Offre de visite
Document de visite disponible en 12 langues
(français, allemand, anglais, chinois,
espagnol, italien, japonais, néerlandais,
polonais, portugais, russe et coréen)
Audio-guide disponible en 11 langues
(français, allemand, anglais, chinois,
coréen, espagnol, italien, japonais, polonais,
portugais et russe)
Bornes tactiles interactives
Livret-jeu pour les enfants à télécharger
Application de visite
Visite du panorama ouverte du 1er avril
au 30 septembre
Tarifs: 3,50€ en supplément du billet d’entrée
(gratuit pour les bénéficiaires de la gratuité)
Accès
En transport en commun : Métro ligne 10 /
RER B / Bus lignes 21, 27, 38, 82, 84, 85, 89
Station Vélib’ N°5032 (Panthéon-Valette)
En voiture: Boulevard Saint-Michel puis rue
Soufflot
www.facebook,com/pantheondeparis
www.instagram.com/pantheon.paris
Panthéon
Place du Panthéon
75005 Paris
01 44 32 18 00
https://www.paris-pantheon.fr/