Le Monde selon Andy Warhol Du 14 septembre 2024 au 15 janvier 2025 à Lyon
Le Monde selon Andy Warhol
EXPO ÉVÈNEMENT
LE MONDE SELON ANDY WARHOL
… ou la rencontre imaginaire entre le prince du Pop Art et le compositeur russe Rachmanivov
Du 14 septembre 2024 au 15 janvier 2025 à Lyon.
Voilà une exposition furtive, composée de soixante photographies, livrées en avant-première
aux éclats exceptionnels de la Chaufferie de l’Antiquaille : Le Monde selon Andy Warhol.
Imaginée, écrite, sous les notes transportées du Concerto pour piano numéro 2 de Sergueï
Rachmaninov, cette exposition évènement de David Lawrence, surprendra certainement une
fois de plus son public.
Dans Marilyn Monroe, le secret de l’Amérique, il dévoila avec ses mots, l’amour dissimulé de la
plus grande star de Hollywood pour la peinture, la littérature, la poésie.
Pour célébrer le 50e anniversaire de la disparition du plus grand peintre du XXe siècle,
Lawrence composa cent lettres imaginaires, destinées à Pablo Picasso.
Pour ce nouvel hommage, David Lawrence tisse un lien entre l’univers du compositeur russe
Sergueï Rachmaninov et celui de l’une des figures phares du Pop Art.
« Les rêves nous préservent la plupart du temps. Mais nous nous devons de les cultiver pour
les rendre vivant. Andy Warhol en était capable. Son héritage entier le prouve.
Émigré austro-hongrois, débarquant avec sa famille, à Pittsburgh, en Pennsylvanie. Pour le
rêve américain. Même si celui-ci souffrait des affres de la Grande Dépression.
En dépit de la pauvreté dans laquelle survivaient les siens, les drames nombreux, ses propres
problèmes de santé, Andy rêvait, dessinait…
Son génie, sa volonté de fer forgeaient peu à peu sa nature.
À l’été 1949, il fuyait l’air irrespirable de cette ville industrielle pour New York.
Là, se nourrissant avec gourmandise d’une multitude d’expériences créatives, son œuvre
inonda le Pop Art du début des Années 60. Il révolutionna le monde artistique ! »
David Lawrence.
Warhol/Rachmaninov, la rencontre imaginaire
Si Sergueï Rachmaninov (1873-1943) appréhendait le final jusqu’au
dénouement éblouissant de ses concertos, Andy Warhol (1928-1987)
prospectait dans la confrontation entre la spiritualité et la réalité de son
monde pour assouvir sa créativité.
Du passé surgissaient, pour le premier, la voix rieuse des camarades
prodiges du conservatoire de Moscou.
Pour le second, le timbre agréable de celle de son père, Ondrej Warhola, qui
fredonnait chaque soir, les chants traditionnels hongrois.
Destins croisés
Tous deux enduraient une peau souffreteuse, dont la chair était promise à l’obscurité. Mais que l’aptitude et la
fortune propulsèrent vers la lumière.
Pour patrimoine musical, Rachmaninov usa d’accords inhabituellement espacés pour démultiplier avec son
public une conversation ardente, joyeuse, passionnée.
Quant à Warhol, il métamorphosa l’art pictural. Substituant à la démesure « considérée, réfléchie » des produits
de consommation de la société américaine pour enfanter des chefs d’œuvres.
Ils ne se croisèrent jamais.
La trajectoire fulgurante de deux étoiles
Le 28 mars 1943, Sergueï Rachmaninov, 69 ans, eut la réponse sur l’existence ou non de Dieu.
Et à cet instant, à Pittsburg, dans les jardins de la Schenley High School, Andrew Warhola s’aventura dans les
bienfaits de la prière et du mystère, « Je voudrais que ma tombe reste vierge. Pas d’épitaphe, pas de nom. ».
Lorsqu’il devint Andy Warhol, il ne manqua aucune messe de l’église Saint-Vincent-Ferrier, à New York. Il eut la même réponse que celle de Rachmaninov le 22 février 1987.
Un coffret en série limitée et un catalogue numéroté et catalogue
À l’occasion de cette exposition événement, la maison TEMPLAR édite en série limitée et numérotée de
500 exemplaires, un coffret réunissant les 60 tirages et les textes de l’exposition, et l’enregistrement du
concerto au piano numéro 2 de Sergueï Rachmaninov. Le catalogue de l’exposition signé de
David Lawrence et préfacé par Marisa Berenson est également disponible.
En vente sur place ou sur le site www.maison-templar.com