Vidéo : une chanson parodique de PETA États-Unis interpelle Pharrell Williams pour ses créations en fourrure
une chanson parodique de PETA États-Unis interpelle Pharrell Williams
La vidéo, dans laquelle figure une version du chanteur construite en briques légo et portant une chemise tachée de sang, attire l’attention sur le fait que torturer et tuer des animaux pour une mode éphémère « n’est pas du luxe, c’est de la maltraitance. »
« Les choix de Pharrell Williams condamnent les animaux à mort. Ils sont entassés dans la crasse et s’accrochent souvent à la vie tandis que des employés brisent leur cou et les découpent en pièce, » affirme Mimi Bekhechi, vice-présidente de PETA pour l’Europe. « PETA demande à Pharrell Williams de construire un héritage durable chez Louis Vuitton en abandonnant les designs mortifères et en laissant les animaux en paix, et non en pièces. »
Une enquête de PETA Asie dans les abattoirs indonésiens qui fournissent LVMH (la société mère de Louis Vuitton) montre des serpents gonflés avec de l’eau, frappés au marteau et coupés avec des rasoirs alors qu’ils sont probablement encore conscients. Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont les crocodiles se font trancher la nuque et enfoncer des tiges en métal dans la colonne vertébrale, des lézards sont décapités à la machette alors qu’ils sont encore conscients et des autruches sont étourdies électriquement avant d’être égorgées devant leurs congénères terrifiées. Les animaux élevés et tués pour leur fourrure sont confinés dans des cages exiguës et insalubres avant d’être électrocutés, frappés, gazés ou même écorchés vifs.
En septembre, une sympathisante de PETA États-Unis a confronté la star au Festival international du film de Toronto et l’a imploré d’arrêter d’utiliser de la fourrure et des peaux animales pour ses designs. « Vous avez raison », a-t-il dit à l’alliée des animaux, affirmant qu’il « travaille là-dessus ». PETA souligne cependant qu’il a fait des déclarations similaires par le passé, mais que rien n’a changé chez LVMH. L’association arrêtera d’interrompre les apparitions de Pharrell Williams avec plaisir lorsqu’il cessera d’utiliser des fourrures et peaux d’animaux sauvages.
PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements » s’oppose au spécisme, idéologie postulant une fausse supériorité de l’humain sur les autres animaux pour justifier leur exploitation. Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com ou suivez les dernières actualités de l’association sur Facebook, X ou Instagram.
Vidéo : une chanson parodique de PETA États-Unis interpelle Pharrell Williams pour ses créations en fourrure
En amont de la sortie au cinéma de Piece by Piece, le nouveau film autobiographique en LEGO de Pharrell Williams, PETA États-Unis a dévoilé une nouvelle vidéo qui parodie la chanson « Happy » pour critiquer le refus du directeur créatif des collections homme de Louis Vuitton d’exclure les peaux d’animaux sauvages et la fourrure de ses collections.
La vidéo, dans laquelle figure une version du chanteur construite en briques légo et portant une chemise tachée de sang, attire l’attention sur le fait que torturer et tuer des animaux pour une mode éphémère « n’est pas du luxe, c’est de la maltraitance. »
« Les choix de Pharrell Williams condamnent les animaux à mort. Ils sont entassés dans la crasse et s’accrochent souvent à la vie tandis que des employés brisent leur cou et les découpent en pièce, » affirme Mimi Bekhechi, vice-présidente de PETA pour l’Europe. « PETA demande à Pharrell Williams de construire un héritage durable chez Louis Vuitton en abandonnant les designs mortifères et en laissant les animaux en paix, et non en pièces. »
Une enquête de PETA Asie dans les abattoirs indonésiens qui fournissent LVMH (la société mère de Louis Vuitton) montre des serpents gonflés avec de l’eau, frappés au marteau et coupés avec des rasoirs alors qu’ils sont probablement encore conscients. Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont les crocodiles se font trancher la nuque et enfoncer des tiges en métal dans la colonne vertébrale, des lézards sont décapités à la machette alors qu’ils sont encore conscients et des autruches sont étourdies électriquement avant d’être égorgées devant leurs congénères terrifiées. Les animaux élevés et tués pour leur fourrure sont confinés dans des cages exiguës et insalubres avant d’être électrocutés, frappés, gazés ou même écorchés vifs.
En septembre, une sympathisante de PETA États-Unis a confronté la star au Festival international du film de Toronto et l’a imploré d’arrêter d’utiliser de la fourrure et des peaux animales pour ses designs. « Vous avez raison », a-t-il dit à l’alliée des animaux, affirmant qu’il « travaille là-dessus ». PETA souligne cependant qu’il a fait des déclarations similaires par le passé, mais que rien n’a changé chez LVMH. L’association arrêtera d’interrompre les apparitions de Pharrell Williams avec plaisir lorsqu’il cessera d’utiliser des fourrures et peaux d’animaux sauvages.
PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements » s’oppose au spécisme, idéologie postulant une fausse supériorité de l’humain sur les autres animaux pour justifier leur exploitation. Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com ou suivez les dernières actualités de l’association sur Facebook, X ou Instagram.