dans la lutte contre les effets

du réchauffement climatique

Bonjour ,

Ce 17 juin est la journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse. Nous aider à la combattre en Afrique, c’est participer à cette lutte vitale pour les femmes et les hommes à travers le monde.

Depuis les grandes vagues de sécheresse de 1976, SOS SAHEL soutient les femmes et les hommes vivant sur une bande de terre de 5 500 km de long à travers le continent africain.

Et depuis 47 ans, des donatrices et des donateurs comme vous, nous permettent d’agir :

CINQ RAISONS POUR AGIR À NOS CÔTÉS

1- 20% de la population mondiale est concernée par la désertification.

Nous aider à la combattre au Sahel, c’est envoyer un message d’espoir à des millions de personnes.

2- Agir à nos côtés, c’est participer au développement durable dans l’une des régions du monde les plus défavorisées par les conditions environnementales.

3- Les actions de SOS SAHEL contribuent à atténuer l’impact du réchauffement planétaire et à réduire le nombre de réfugiés climatiques sahéliens.

4- En soutenant les initiatives locales, SOS SAHEL travaille au plus près des Sahéliens et Sahéliennes pour leur permettre d’acquérir les outils indispensables à leur développement.

5- Forte de ses 47 ans d’expérience, SOS SAHEL se positionne

en spécialiste de la désertification et partage son expertise

sur ce phénomène qui touche 40% des terres émergées du globe.

Agissez maintenant et contribuez à la lutte contre la désertification et la sécheresse en Afrique. Rejoignez SOS Sahel aujourd’hui en faisant un don.

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De l’eau potable

au cœur des villages

Bonjour ,

Dans de nombreux villages du Sahel, ce sont souvent aux femmes et aux enfants à qui incombe la tâche de trouver l’eau quotidienne pour les besoins des familles.

Equipée de bidons, Amy, une maman nigérienne, doit parcourir 6 kilomètres chaque jour pour aller puiser de l’eau et la ramener chez elle.

Une tâche éprouvante comme vous pouvez l’imaginer alors même que, régulièrement, l’eau est contaminée faute d’assainissement. Une eau dangereuse pour la santé, en particulier chez les plus jeunes enfants, car elle peut provoquer de nombreuses maladies aux conséquences parfois dramatiques.

Au Sahel, une eau non potable est ainsi l’une des principales causes de mortalité chez les enfants de moins de 5 ans !

Construit avec les habitants, nos partenaires locaux et la participation des donateurs de SOS SAHEL, l’installation d’un forage au cœur du village d’Amy, il y a quelques mois,  permet aujourd’hui à des dizaines d’enfants d’être en bien meilleure santé et de consacrer plus de temps à leur scolarité.

L’accès à l’eau potable est aussi un levier essentiel au développement économique local, notamment pour les femmes qui peuvent cultiver des jardins maraîchers et en tirer des revenus.

Amy témoigne de ce changement « Tout le village, mais surtout les femmes qui ont la charge de l’approvisionnement en eau dans les foyers, sont soulagées. Cela nous facilite la vie. La charge de travail est allégée et nous consacrons plus de temps à nos familles ! »

Cet accès à l’eau potable et à l’assainissement a insufflé l’espoir et a renforcé la volonté des villageois de changer les choses en profondeur.

Pourtant, dans certaines régions du Sahel, plus de 60% des habitants sont toujours privés d’eau potable et de latrines.

C’est pourquoi nous devons, avec vous, absolument maintenir nos actions pour préserver la santé et offrir un nouvel avenir à des enfants comme ceux d’Amy.

Avec un don de 50 €*, vous participez de manière déterminante à permettre un accès durable à l’eau potable à toute une famille.

Sauver des vies et les changer durablement, grâce à vous, c’est possible !

Merci de faire dès à présent ce geste vital !

DONNEZ EN CONFIANCE

Les habitants en sont conscients. En plus de prendre trop de temps (jusqu’à 5 heures par jour), le ramassage et la coupe du bois contribuent à abîmer le couvert arboré. Un couvert qui protège pourtant de la désertification. Au Sahel, chaque famille utilise entre 7kg et 10 kg de bois par jour pour ses besoins domestiques.
Bien intégré dans nos actions ces dernières années, la constructtion de “foyer amélioré” économise le bois de chauffe et participe à alléger les travaux domestiques des femmes rurales du Sahel. Un foyer amélioré permet ainsi de réaliser jusqu’à 80% d’économie de bois par rapport à un foyer traditionnel.
Désormais, grâce à cet équipement qu’elle a appris à construire, il ne faut à Fatou que deux bûchettes et non plus dix pour cuisiner. Avec ce temps ainsi gagné, Fatou, devenue entre-temps formatrice, apprend à d’autres femmes à construire leur propre équipement sur place.

Au total, le travail des sept formatrices-relais comme Fatou a permis d’assurer la transmission de la technique auprès des 65 autres femmes des autres villages environnants. L’utilisation des premiers foyers améliorés leur a permis de constater l’économie de bois par rapport au foyer traditionnel.

Grâce à votre don, vous allez permettre la diffusion de ces précieuses connaissances auprès des femmes du Sahel.

Merci d’avance de votre générosité !

Nagaré au Burkina Faso, 6h du matin, Marie se réveille.

Depuis quelques semaines, le chant du coq de son nouveau pou­lailler rythme son quotidien.
Mathias, son mari, se pré­pare un petit sac pour partir cultiver son champ. Il ne reviendra au village qu’en fin de jour­née, peu avant la tombée de la nuit.
Pour Marie aussi, une journée chargée s’annonce. Après être allée cher­cher de l’eau et avoir préparé le repas des enfants, il est temps pour elle de se rendre à la petite étable que le couple a fabriquée il y a peu dans la cour de leur maison.

« Avant, pour une femme, il était impos­sible d’avoir assez d’argent pour lancer sa propre activité économique. Avec le soutien de SOS SAHEL, j’ai pu obtenir mon premier crédit pour acheter un bœuf. J’ai participé à de nombreuses forma­tions pour apprendre à le nourrir avec des produits locaux et à le soigner avec les bons médicaments. C’est ce qu’on appelle l’embouche. »
Au bout de quelques mois, le bœuf est devenu assez gros et charnu pour être vendu avec un bénéfice. Au-delà du revenu généré, Marie a acquis des com­pétences qui lui ont permis de se lancer dans d’autres élevages (chèvres, poules).
Nettoyer et entretenir l’étable, préparer la nourriture des bêtes et leurs médicaments, remplir les abreuvoirs avec de l’eau propre, stocker les déjections dans une fosse à compost…cette succession de tâches, méthodique et organisée, elle l’a apprise avec l’animateur de SOS SAHEL.

« On m’a fourni du matériel et avec Mathias, mon mari, nous avons construit un poulailler qui protège nos volailles des prédateurs comme les éperviers. J’élève et j’embouche aussi des chèvres et Mathias s’occupe de nos deux ânes qui sont des aides indispensables au champ. Aujourd’hui, mon crédit est totale­ment remboursé et mon travail conti­nue. Je suis très fière d’avoir réussi à être totalement indépendante. »
Parmi les actions menées grâce à votre précieux soutien, SOS SAHEL accompagne les efforts des femmes rurales pour développer leur propre activité économique.

Des responsabilités qu’elles assument pour contribuer aux dépenses courantes de leur ménage à l’atout qu’elles constituent pour les familles dans leur combat contre la pauvreté, les femmes sont des actrices essentielles pour le développement de leur territoire.

Pour Marie comme pour des milliers d’autres femmes de la région, ses ani­maux sont plus qu’une activité lucrative : ils sont la clé pour un avenir meilleur, sécurisé et indépendant.

Aujourd’hui dans l’étable, un boeuf, des chèvres, deux ânes et un poulailler attendent Marie. Ils sont chacun le fruit de ses nouvelles compétences et de ses efforts.

Bien intégrés au système agricole global, les animaux d’élevage sont un excellent levier de développement et d’émancipation. Au Burkina Faso, mais aussi partout où cela est possible, SOS SAHEL, avec votre précieux soutien, pourra proposer l’élevage dans ses actions. Marie et Mathias en sont un exemple de réussite et leur ferme fait figure de modèle.
Merci d’avance de votre générosité !

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Pour vaincre la faim, les interventions d’urgence sont nécessaires mais ne suffisent pas. Se pose alors le défi de la durabilité des actions entreprises.
Dans la commune de Barani au Burkina Faso, des parents se sont mobilisés aux cotés des instituteurs et des équipes de SOS SAHEL pour impulser un changement durable sur la nutrition et l’hygiène.
Un changement qui s’est appuyé sur les enfants, la force vive et l’avenir des villages. Ainsi sont nés les Clubs scolaires NUTRISCO.

Effectuées en petits groupes, ces activités périscolaires alternent un apprentissage théorique et pratique. Les élèves volontaires apprennent à cultiver des jardins créés dans la cour de leur école. Les fruits et légumes produits sont servis à la cantine. Les enfants apprennent aussi à nettoyer et cuisiner les aliments de manière à conserver leur valeur nutritive, ainsi qu’à établir des menus équilibrés.

Aujourd’hui, avec votre aide, nous voulons déployer les clubs NUTRISCO au sud-est du Sénégal. Dans les régions de Kolda, Tambacounda et Kédougou, 225 élèves se sont déjà portés volontaires pour participer aux activités et près de la moitié sont des filles.

Les premiers jardins scolaires ont été aménagés depuis le mois de février. Chaque école dispose de petit matériel de maraichage et de semences. Les premières récoltes de légumes ont eu lieu au mois de mai et se poursuivent actuellement. Les élèves ont pu gouter les premiers fruits de leur travail.
Pour cette rentrée, grâce à vous, nous voulons que 1.500 élèves dans 9 écoles du sud du Sénégal participent à des clubs NUTRISCO.

En faisant aujourd’hui un don, vous participez à la production locale de fruits et de légumes et vous diffusez des connaissances vitales pour la santé des enfants et celle de leurs familles. Le coût du matériel d’un club NUTRISCO est de 75 € seulement ! (Semences, arrosoirs, fourches, binettes …)

Merci d’avance de votre générosité !

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