Sophie Kay
Sophie Kay vient de signer avec Aurasky Music (management, publishing, booking, presse) qui
sortira son nouveau CD : “Turbulent Blues” le 27 novembre 2020, blues engagés, protestataires
ou histoires d’amour foirées, écrits avec poésie, humour ou désespoir sur fond de shuffle, blues
mineur, ragtime, early jazz ou acoustic folk et un soupçon de tango.
Une sortie « The Orchard »
Contact : Aurasky Music : fred@auraskymusic.com
Tel : 06 13 80 26 22
Cd physique sur : www.sophiekay.bandcamp.com
Après des années de dur labeur dans des secteurs très variés,
allant de vendeuse de ballons au Trocadéro à infirmière en
psychiatrie, projectionniste, en passant par modèle pour faux
reportages et accessoirement comédienne dans de vrais films,
Sophie Kay, reine de la flexibilité, née d’une mère alsacienne et
père d’origine hongroise et australienne, ferme sa société de
distribution de films musicaux « Ciné-Rock » à la fin des années
90, dans laquelle elle a produit et réalisé le documentaire devenu
culte : « A day with RL Burnside » le bluesman de référence du
Mississippi qu’elle découvrit quelques années plus tôt dans le
documentaire de Robert Mugge « Deep Blues » dont Ciné-Rock
assurera la sortie France début 90 . Sophie Kay, qui a toujours
joué de la guitare et chanté dans divers groupes folk, rock, rythm
& blues, rencontre fin 1998 un gars pas banal, fils probablement
caché d’Errol Flynn ou de Robert de Niro, un italo-américain au
caractère bien trempé, Little Victor, guitariste, chanteur,
harmoniciste de blues qui va l’entrainer à partir de la fin des
années 90 dans la valse des tournées en duo, trio et plus, de bars
obscurs et alcoolisés en théâtres feutrés et restaurants chics,
jusqu’aux festivals européens de blues les plus prisés, où leurs
deux noms s’inscriront modestement aux côtés de légendes telles
Irmas Thomas, Eddy Floyd, Taj Mahal, Pinetop Perkins, Little
Milton, Johnny Winter et bien d’autres. Mais les histoires d’amour
finissant toujours mal, du moins pour elle, en 2008 Sophie remet
au partenaire sa démission et remonte sur scène seule ou en duo,
chantant les mêmes blues qu’elle avait chanté avec lui,
principalement des morceaux de Memphis Minnie, Bessie Smith,
Lil’Green ou d’autres morceaux d’artistes inconnus. Depuis, elle a
aussi composé de nouvelles chansons et blues de son crû et joué
sous son nom dans de nombreux festivals de blues et « chanson »
européens et américains, produit quatre albums, dont ce dernier
« Turbulent Blues » dont les thèmes tournent autour du
féminisme et de l’effondrement des valeurs humaines,
conséquence de la colonisation mondiale de « The Big Money »
La Presse Musicale a dit :
About “I don’t remember(who I am)”
“Quite an emotional reaction from me to this one, as those lyrics are heart-breaking, whether
they be literal or metaphorical.
Lovely voice and melody, supported by the two guitars battling away in the background. I love
a good sea shanty rhythm. The lo-fi recording is all part of the charm. My site covers UK
music only, but if we could have covered this I would have. The album sounds very intriguing,
best of luck with it !”
The New Boots (English mag) oct 2020
“Melancholic voice with a “tired” guitar that makes this song perfect to relax, think, drink a
cocktail, a beer and chill on a field in summer. Lovely.”
The soundcheck (Italy) oct 2020
« L’authenticité discrète, du blues de Sophie Kay, la beauté intrinsèque des compositions et
l’émotion qui s’en dégage, l’incroyable finesse et la richesse de l’instrumentation, le son d’une
limpidité peu commune font de cet album un véritable bijou. Et des bijoux comme ça, c’est
plutôt rare d’en trouver depuis quelques années »
Luc Brunot – (album Turbulent Blues)
Emission « All Blues » http://www.sweethomemusic.fr/AllBlues.php
Collectif des Radios Blues
« Avec Sophie tout est dans l’intime, le chaleureux, l’amical, le feutré. Point de déluge de
décibels et d’instruments à l’excès. L’aisance technique est là, discrète, présente, convaincante
sans être démonstratrice. »
Francis Pfeiffer, Paris Move.
« Au gré des morceaux resurgissent spontanément les images des grandes chanteuses du blues
mais aussi de la folk… avec des cachets qui rappellent tantôt Bessie Smith, Billie Holiday,
Joan Baez… »
Fred Delforge – Zicazic (album « Leaving Town »)
« Leaving Town, une compo qui classe définitivement la grande Sophie parmi les vraies et
talentueuses bluewomen-songwriter, »
Franckie Pfeiffer (Paris Move)
« Ce disque, plus on l’écoute, plus on l’aime. Non pas pour en comprendre toutes les
subtilités, mais au contraire, pour en saisir et apprécier la simplicité »
Le Deblocnot’
« Sophie Kay semble le fruit des amours improbables de Piaf et Robert Johnson….accouchée
par le Dr John… »
Le DéblocNot’
« Sophie Kay, personnalité complètement atypique, décalée…un peu de Fréhel, un peu de
Bessie Smith, beaucoup de Sophie Kay ! Des titres forts, drôles ou graves, des ambiances
musicales typées. Rien d’anodin ou d’attendu. Et puis, il a ce dernier titre, Zoltan. »
Jacques Perin – Soulbag
« De la chanson réaliste rockabillie ?…Elle joue les danseuses de carmagnole mais tout le
monde sait qu’elle loge au Georges V….elle frôle Catherine Ringer avec sa gouaille
aristocratique, un peu Rose Murphy pour l’ingénuité salace des non-dits, un peu Magali Noël
pour lier les contraires…elle joue des fourberies yé-yé sur un shuffle jazz garage et des amortisseurs tangobilly….un remarquable disque. »
C.Casoni – Rock & Folk
Discographie
“ Turbulent Blues “ (2020, Jeno Records)
« Leaving Town » (2012, Jeno Records) blues (on bandcamp)
« Old Orléans » (2008, Jeno Records) chanson jazzy blues (on bandcamp)
Compilation “ Chant’ Sons” (Chant’ Appart, 2009)
Compilation « Women in blues » (Jomar Records, Usa 2007)
Compilation « Les Lendemains qui chantent » (Studio Bleu Production 2007)
« Blues de Paname » (Jeno Records, 2007)
« Rengaines » (Jeno records 2004)
« Just Rockin’ The Blues » with Little Victor (Blue Rabbit 2001)
“Cookin’ with Gas” with Little Victor(Blue Rabbit 1999)
