Après cinq éditions réussies et le lancement de sa collection privée d’art contemporain,
Le Meurice célèbre cette année son 6e Prix Meurice pour l’art contemporain.
La création artistique a toujours été, depuis 1835, un élément essentiel de l’art de vivre du Meurice. Dans cet hôtel, l’art se confond avec un certain génie français, car ce luxe-là est de nature à exprimer la créativité et l’innovation, historiquement, un état de l’art à son plus haut.
Fidèle à son héritage et à l’intérêt qu’il porte à l’art de son temps, Le Meurice crée en 2008, sous l’impulsion de Franka Holtmann son Directeur Général, le Prix Meurice pour l’art contemporain, réaffirmant ainsi sa position de mécène envers la jeune création. Cette action exercée au titre de mécénat d’entreprise apporte, tous les ans, son soutien matériel, sans but lucratif, à un jeune artiste et sa galerie française pour les aider à se faire connaître à l’étranger.
Le Prix Meurice pour l’art contemporain est un prix international doté d’une valeur de 20 000 €. Il concerne tous les modes d’expression des arts plastiques et visuels (peinture, sculpture, installation, photographie, vidéo…) et récompense un projet d’envergure internationale proposé par un artiste et sa galerie française, quelques jours avant la FIAC.
Les lauréats des années précédentes sont :
• Zoulikha Bouabdellah & la galerie La B.A.N.K en 2008/2009
• Renaud Auguste-Dormeuil & la galerie In Situ en 2009/2010
• Éric Baudart & la galerie Chez Valentin en 2010/2011
• Mathieu Kleyebe Abonnenc & la galerie Marcelle Alix en 2011/2012
• Alexandre Singh & la galerie Art: Concept en 2012/2013
1. Bertille Bak représentée par la Galerie Xippas
« Exercice cynégétique familial », projet d’exposition d’une installation globale à Genève,
Bielefeld, Ljubljana, Bruxelles et Luxembourg
2. Neil Beloufa représenté par la Galerie Balice Hertling
« Les arabes et les services », projet d’exposition d’une installation globale à New York
3. Jonathan Binet représenté par la Galerie Gaudel de Stampa
« Multiplication du tableau », projet d’exposition d’oeuvres de peinture à Rome, New York
et Londres
4. Chloé Maillet & Louise Hervé représentées par la Galerie Marcelle Alix
« Un passage d’eau », projet d’exposition d’un film à Mechelen
5. Elsa Sahal représentée par la Galerie Claudine Papillon
« Fontaine » et « Rivière », oeuvres extérieures en céramique à caractère monumental, projet d’installation à Bruxelles, projet d’exposition aux États-Unis
6. Ulla von Brandenburg représentée par la Galerie Art: Concept
« Strasse », projet d’exposition d’une installation globale à Hanovre
Le 7 octobre 2013, le jury sélectionnera les lauréats, l’artiste et sa galerie, à qui sera décerné solidairement le Prix Meurice pour l’art contemporain : 10 000 € à l’artiste et 10 000 € à sa galerie.
L’exposition des 6 finalistes sera ouverte au public du 8 au 27 octobre 2013.
Rendez-vous le 7 octobre pour la révélation
Née en 1983 à Arras, Bertille Bak vit et travaille à Paris.
Diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, elle a également été formée au Fresnoy.
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Les communautés ou plus largement les collectifs sont les piliers du travail de Bertille qui, par la vidéo, le dessin ou l’installation, rend compte de situations. Il s’agit d’une démarche qui porte en étendard des vies anonymes ; comprendre l’organisation entre les individus, répertorier leurs histoires personnelles et collectives, traditions, passe-temps, révoltes puis, inventer des manières d’appréhender différemment leur réel. Ses projets sont toujours réalisés en étroite connivence avec ceux dont elle partage le quotidien : l’artiste recrée des scenarii qui brouillent les frontières entre réalité et fiction et permettent ainsi l’émergence des nouvelles mythologies. L’action collective et la nécessité de témoigner priment.
Projet : « Exercice cynégétique familial »
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Le projet envisagé se concentre sur une fratrie située dans un hameau alsacien. L’intérêt se porte sur l’organisation singulière du noyau familial, ainsi que son mode de vie autonome au coeur de la forêt, où chasse et débardage rythment le quotidien. Il s’agit d’interroger ce mode de vie ancien qui répond aux besoins essentiels de l’Homme dans un hameau français où l’on chante en allemand. Le temps passé par l’artiste avec la fratrie mènera à la réalisation d’une vidéo ainsi qu’à la collecte de données de ce groupe spécifique.
Projet à l’international :
Fin 2014 : expositions personnelles dans un centre d’art suisse, un centre d’art allemand (soutien possible du Bielefelder Kunstverein, Allemagne) et présentation en galerie en Suisse. 2015 : expositions en Slovénie, Belgique et Ljubljana, WIELS centre d’art contemporain, Bruxelles, Mudam)
Né en 1985, Neil Beloufa vit et travaille à Paris.
Dans sa pratique, il s’intéresse aux dichotomies : réalité/fiction, cause/effet, présence/absence. Réflexion qu’il développe au travers de médiums comme la sculpture, la vidéo, l’installation et la photographie. La combinaison de ces dichotomies lui permet de déconstruire nos systèmes de croyances et nos idées préconçues, en proposant la fiction comme du réel, et vice-versa.
Projet : « Les arabes et les services »
Projet d’installation et d’exposition autour des représentations des systèmes d’information et du désir d’informations des médias de masse.
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Depuis la galerie où sera construit un ‘décor’ inspiré des architectures du film The Tourist, et au travers de webcams, les visiteurs pourront voir l’exposition par écrans interposés. Celle-ci sera délocalisée dans un autre lieu où un ‘employé’ présentera l’exposition lors du passage des visiteurs. Cette exposition sera composée de deux vidéos : l’une où l’on pourchassera des touristes américains avec des techniques ‘d’espionnage’ dans un pays du monde arabe, les faisant ainsi passer pour des espions. La seconde « La domination du monde » dans laquelle des civils s’offrent à des disputes d’ordre politique, se faisant passer pour des hommes politiques en temps de crise.
Projet à l’international :
2014: exposition au Film Center Building à New York
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Né en 1984 à Saint-Priest, Jonathan Binet vit et travaille à Villejuif.
Diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, Jonathan Binet travaille à une forme « d’extension du domaine de la peinture » et met l’accent sur les intervalles entre l’oeuvre et l’espace d’exposition.
Projet : « Multiplication du tableau »
Projet évolutif destiné à voyager qui se complète d’une exposition à l’autre ; un peu comme une longue phrase qui peinerait à se terminer.
Les tableaux existent en double et un tableau forme un diptyque avec le précédent.
Ce dernier tableau crée un autre diptyque avec le suivant. Ce schéma pourrait s’appliquer à une suite d’expositions. Certains tableaux pourront être seuls et agiront comme des liens, des virgules ou autres signes de ponctuation.
Conformément à sa pratique qui lie peinture et performance, Jonathan Binet investit l’espace comme une véritable scène. L’accrochage de ses œuvres est le résultat d’une suite de tentatives et d’hésitations qui se déroule à huis-clos.
Jonathan Binet est un saute-muraille, il grimpe, bombe, laisse ses empreintes sur les murs immaculés, les marques de ses interventions. L’artiste met en scène son accrochage selon une suite de réactions en chaîne.
Projet à l’international :
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Mars 2014 : Fondazione Volume (curateur : Franco Nucci et Pier Paolo Pancotto), Rome
Mai 2014: New York Gallery, New York
Septembre 2014 : lieu en cours de discussion (curateur : Tobias Czudej), Londres
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Chloé Maillet
& Louise Hervé
Galerie Marcelle Alix
Nées en 1981, Chloé Maillet et Louise Hervé travaillent en duo depuis dix ans.
Chloé Maillet est titulaire d’un doctorat en Anthropologie historique de l’EHESS (cursus universitaire) et Louise Hervé est diplômée de l’École Nationale supérieure d’arts de Paris-Cergy.
Le duo conduit régulièrement à parcourir différents espaces chargés d’histoires (la double architecture néo-classique du Palais de Tokyo et du Musée d’Art Moderne et son rapport au péplum, Belleville et la vie des Saints-Simoniens, Marne-la-Vallée et les films d’Éric Rohmer). Leurs recherches invitent à s’intéresser à une pratique de la collection que les artistes affectionnent et à une certaine archéologie du savoir. Identifiés, décrits, classifiés, représentés dans un fichier… les objets fragmentaires ou manquants, nous livrent les clefs d’un trésor enfoui.
Projet : « Un passage d’eau »
Ce 4e moyen métrage s’inscrit dans la continuité de leur passion pour les films de monstres marins et les profondeurs des sous-sols. Pour ce film qui mixe les références au documentaire archéologique et au film fantastique, elles mêleront de très sérieuses recherches scientifiques, historiques, culturelles, et quelques trouvailles fantaisistes liées par exemple à l’archéologie sous-marine, aux bains de mer, à Jacques-Yves Cousteau ou à Jacques Tourneur, réalisateur de films fantastiques.
Projet à l’international :
2014 : Biennale Contour de Mechelen, Belgique (cofinancement par la Biennale de Liverpool)
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Elsa Sahal
Galerie Claudine Papillon
Née en 1975, Elsa Sahal vit et travaille à Paris.
Diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, elle a bénéficié de nombreuses expositions en France et à l’international. Invitée en résidence à la Archie Bray Foundation for the Ceramic Arts dans le Montana, États-Unis, pendant l’été 2013, elle participera à « Body & Soul : New International Ceramics », au Museum of Art and Design à New York de septembre 2013 à mars 2014.
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Lauréate du prix MAIF pour la sculpture (2008) et du prix de la sculpture contemporaine, Fondation Francesco Messina (2007), Elsa Sahal travaille et utilise exclusivement la céramique, médium qu’elle a contribué à réinventer.
Projet : « Fontaine » & « Rivières »
Avec « Fontaine » – pièce à mi chemin entre le nu féminin et le paysage minéral, conçue pour la FIAC Hors les Murs 2012 – Elsa Sahal s’est ‘attaquée’ à une pièce d’extérieure de dimension importante compte tenu du médium ‘céramique’ qu’elle utilise. La sculpture est destinée à être exposée dans la prestigieuse Abbaye de La Cambre à Bruxelles et sera mise en regard avec une série de nouvelles pièces à caractère monumental. « Fontaine » associe formes organiques abstraites et figuration parodique dans des volumes massifs et ornés, dont la couleur est un camaïeu de multiples roses riches de nucléations et de cristallisations. Les « Rivières », série de représentations féminines liées à l’élément eau, questionnent l’univers de la féminité et de la fertilité.
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Projet à l’international :
2014 : installation de l’ensemble des pièces à l’Abbaye de La Cambre, Bruxelles, après avoir réalisé des maquettes à Archie Bray Fondation. La Galerie Claudine Papillon présentera une oeuvre d’Elsa Sahal à la Foire Art Contemporary Los Angeles.
2014/2015 : circulation de l’ensemble des pièces aux États-Unis est à l’étude.
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Ulla von Brandenburg
Galerie Art: Concept
Née en 1974 à Karlsruhe (Allemagne), Ulla von Brandenburg vit et travaille à Paris.
Son travail se caractérise par la diversité des médiums qu’elle utilise et transforme en une thématique complexe afin d’explorer et concevoir ses oeuvres comme des étapes ou des fragments d’une oeuvre totale. OEuvre dans laquelle se mélangent les époques, les personnages et les narrations.
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Ulla von Brandenburg s’inspire autant des traditions et des arts vernaculaires du folklore allemand, italien ou encore français, que des mythologies contemporaines. Son univers, intimement lié au monde du théâtre, va s’exprimer au travers d’un répertoire iconographique riche, qui brouille toute notion de temporalité et fait perdre au spectateur tous ses repères.
Projet : « Strasse »
Le projet se construit comme une installation globale, comprenant à la fois une architecture, à la façon d’un décor de théâtre, dans laquelle le spectateur sera invité à pénétrer et évoluer, ainsi qu’une vidéo, projetée au sein même de l’architecture.
Inspirée par l’usage récurrent de décors factices sous la Renaissance et jusqu’au 18e siècle, elle conçoit un décor de rue totalement inversé, de manière à ce que le sol devienne alors le ciel, et le plafond de l’installation, le sol de la rue. Cette inversion va engendrer chez le spectateur une perte des repères spatiaux.
Projet à l’international :
2014 : exposition à la Kunstverein de Hanovre
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L’exposition
des artistes finalistes
8-27 octobre 2013
Le Meurice expose les artistes finalistes de la 6e édition du Prix Meurice pour l’art contemporain du 8 au 27 octobre 2013.
Cette année encore, Le Meurice, fidèle à son engagement de mécénat auprès de la jeune création artistique, propose aux 6 artistes finalistes de son Prix Meurice pour l’art contemporain d’exposer pendant un peu plus de trois semaines une ou plusieurs pièces phares de leur œuvre dans un espace public dédié de l’hôtel.
Ouverte à tous gracieusement, cette exposition permet non seulement à chacun d’entre nous de découvrir le travail de ces jeunes talents en devenir, mais offre surtout à ces futurs « Très Grands » une vitrine inégalée auprès de tous les curateurs, collectionneurs et autres intervenants importants du monde de l’art contemporain. L’exposition fait chaque année partie du parcours VIP de la Fiac.
Soyez curieux !
Entrée libre par le 6, rue de Castiglione
Exposition du 8 au 27 octobre 2013 dans la galerie Castiglione, de 10h à 19h.
Et pour ceux qui ne connaitraient pas Le Meurice, cette exposition est une belle opportunité de découvrir l’héritage artistique de l’hôtel à travers notamment le modelage de ses espaces par Henri Nénot, Grand Prix de Rome 1877, ses marbres et mosaïques, ses toiles peintes à la main par les peintres pompiers, plus récemment sa décoration contemporaine signée Philippe Stark ou bien sûr les pièces de sa collection d’art contemporain.
Depuis 2009, dans cet hôtel où l’art se confond avec un certain génie français sont exposées plusieurs œuvres des artistes du Prix Meurice pour l’art contemporain.
En effet, chaque année, Le Meurice acquiert une œuvre d’un des finalistes qui lui semble pertinente avec son histoire et qui fait sens dans son environnement presque bicentenaire, et l’expose dans ses lieux publics afin qu’elles puissent être admirées de tous ses visiteurs.
Découvrez les oeuvres d’art du Meurice !
• « Le Baiser » de Zoulikha Bouabdellah (2008) exposé dans le lobby
• « Les Blackout » de Paris et de New-York de Renaud Auguste-Dormeuil (2009) exposés dans la galerie centrale
• « Crystal » d’Éric Baudart (2010) exposé dans le salon du Jeu de Paume
Triplement mécène à travers la dotation de 20 000 € du Prix Meurice, l’exposition et l’acquisition chaque année d’une pièce d’un des artistes finalistes, Le Meurice est fier de soutenir l’art et surtout fier de le faire partager à ses hôtes.
Alexandre Singh et Art: Concept
Lauréats du Prix Meurice
pour l’art contemporain 2012/2013
Le 9 octobre 2012, le Prix Meurice pour l’art contemporain 2012/2013 a été décerné solidairement à Alexandre Singh pour son projet « The Humans » et à la Galerie Art: Concept.
Né en 1980, Alexandre Singh vit et travaille à New-York. Il est à la fois artiste, performeur, sculpteur et dessinateur. Son œuvre explore la mémoire du monde et son inspiration va de Lovecraft à Molière, en passant par le roman gothique et les recherches scientifiques. Ses textes, centraux dans son œuvre, s’accompagnent parfois de performances qui mettent en scène ces récits et s’appuient sur des images projetées où se mêlent réel et fiction.
Le projet d’Alexandre Singh pour le Prix Meurice, « The Humans » se compose d’une série de sculptures, de dessins et de personnages qui s’inscrivent dans le jeu de la représentation théâtrale. Au centre, une montagne divise l’espace en deux sphères opposées : le royaume apollinien, inhérent à l’esprit de Charles Ray ; et celui, dionysien, de la lapine « En », icône en chocolat de la marque Nesquik. Les six différentes prises de vues montreront la pièce dans son intégralité du début à la fin. Dans une salle tapissée de gazon synthétique, le spectateur pourra regarder la pièce sur cinq écrans. Le sixième écran montrera les acteurs se trouvant à l’intérieur de la montagne, chose que les spectateurs de la pièce ne pourront voir. « The Humans » est l’histoire de deux esprits, Tophole et Pantalingua, hostiles à la création de la Terre. Le récit s’inspire des comédies d’Aristophane et se déroule à l’aube des temps et de l’espace. S’opposant à un Créateur égocentrique, Tophole et Pantalingua conspirent et donnent involontairement naissance à un « paradis perdu ». Ils finissent par corrompre les humains éponymes – représentés par un monumental choeur grec – qui deviennent les mortels imparfaits que nous sommes aujourd’hui.
Le Centre d’art contemporainWitte deWith a proposé à Alexandre Singh de monter « The Humans » dans ses murs, d’avril 2012 à janvier 2013, après quoi l’artiste a poursuivi son travail sur la pièce à Rotterdam. Tous les mois, Alexandre Singh a ainsi présenté au public l’avancement de sa recherche et de sa production lors de rencontres au Witte de With. Au cours de ces « Causeries », il a abordé des thèmes liés à la cosmologie et à la cosmogonie, mais aussi à la satire, aux costumes de théâtre et à la scatologie, tout en évoquant ses principales sources d’inspiration : Aristophane, Alexander Pope, P. G. Wodehouse, William Hogarth, John Ruskin, South Park et Woody Allen.
Fruit de ces longs mois de gestation, « The Humans » donne une interprétation théâtrale accomplie de la création du monde. « The Humans » est une commande du Witte de With et de Performa. L’oeuvre, coproduite par Witte de With, la Productiehuis Rotterdam, le Rotterdamse Schouwburg et Performa 13, est présentée en partenariat avec le festival De Keuze et la Brooklyn Academy of Music (BAM).
L’exposition sera donc présentée en première mondiale au Witte de With à Rotterdam les 28 et 29 septembre 2012, et à la Brooklyn Academy of Music du 13 au 17 novembre 2013
Citations
Prix Meurice
pour l’art contemporain 2013/2014
Franka Holtmann
« Le Meurice appartient à Paris comme Paris appartient au Meurice. Chacun a écrit l’Histoire de l’autre, a célébré ses jours de fête, son goût de la liberté, son génie français.
Ce Paris-là, c’est celui qui donne le ton, qui bat, qui vibre, qui brille et Le Meurice est aujourd’hui bien plus qu’une adresse, c’est une signature, un style. Il y a vraiment quelque chose dans l’esprit du Meurice qui incite au plaisir et au partage des choses de l’art et de l’esprit. Le Prix Meurice pour l’art contemporain n’est que le prolongement de cette effervescence intellectuelle et mondaine. Aujourd’hui, le passé vient sublimer le présent et le présent prolonge le passé. Le Meurice renoue avec son histoire, retrouve sa créativité et son vent de folie… c’est le plaisir de tous ! »
Anne Vogt-Bordure
« Le Meurice, fidèle à son héritage et à l’intérêt pour l’art de son temps, renoue avec son passé en créant le Prix Meurice pour l’art contemporain, véritable démarche de mécénat d’entreprise. Chaque année, Le Meurice, choisit d’apporter son soutien matériel, sans but lucratif, à un artiste émergeant pour l’aider à se faire connaître à l’étranger. Le prix de 20.000 € est décerné solidairement à l’artiste et à sa galerie par un jury de professionnels. La création du Prix Meurice pour l’art contemporain accompagne le mouvement du Meurice dans son tournant résolu vers l’avenir, certainement parce que le luxe du Meurice, premier Palace de Paris (1835), exprime par nature sa créativité et l’innovation.
Contacts presse
Anne Vogt-Bordure – Directrice de la communication
anne.vogtbordure@dorchestercollection.com
Marie-Aude Laurent – Responsable des relations presse
(Brazil – U.S.A – U.K – Russia – China)
marieaude.laurent@dorchestercollection.com
Margaux Capdeville – Responsable presse et e-marketing
(France – Japan – Other countries)
margaux.capdeville@dorchestercollection.com
Tel. : +33 (0)1 44 58 10 75 – Fax : +33 (0)1 44 58 10 19
Le Meurice remercie les partenaires du Prix Meurice pour l’art contemporain
Dorchester Collection
Le style de l’individualité
Dorchester Collection succède au Dorchester Group, fondé par la Brunei Investment Agency en 1996 pour gérer l’ensemble de ses hôtels en Europe et aux Etats-Unis.
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• Le Richemond à Genève
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Dorchester Collection réunit ces chefs d’oeuvre et garantit à ses hôtes une expérience exceptionnelle : une offre de prestige dans une atmosphère chaleureuse où chacun se sent chez soi quel que soi l’hôtel choisi.
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Julia Record, Directrice de la communication