ABOU DIARRA 28 MARS à L’ERMITAGE PARIS

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Chers amis aventuriers des musiques, du groove et des dancefloor hivernaux,Venez fêter le fin de l’hiver, vous réchauffer ensemble, danser… le 28 mars 2014 au Studio de l’Ermitage.Faites tourner l’information et d’ici là plein de bonnes choses à tous.Musicalement

L’association Mix et Métisse


ABOU DIARRA

EN CONCERT

le 28 MARS 2014 | 20H30

au STUDIO DE L’ERMITAGE | Paris |

 


PRESSE :“Le nouvel album d’Abou Diarra est à écouter comme on emprunte un chemin de vie” Mondomix“L’un des plus brillants ambassadeurs du kamale ngoni, harpe-luth tradi-moderne” RFI” Mystique et chaude, sa musique est planante… et nous mène ailleurs, en terrain inconnu, mais familier” Métro“Il joue du n’goni… comme une guitare, une basse, une harpe ou une percussion, pour mieux métisser la tradition Wassoulou avec du blues, du jazz et de l’afro-funk.” Télérama Sortir

LE CLIP | SABOU |

LE KAMALE’N GONI

Le N’Goni est l’un des trésors d’Afrique, plus particulièrement dans la région de Wassoulo au Mali. Instrument de musique incontournable de la culture des Griots et du monde des chasseurs, il existe depuis la nuit des temps (environ 12e siècle). Connu initialement sous le nom de Dozo N’Goni (le n’Goni des chasseurs), il était l’emblème des chasseurs et de leur confrérie, l’instrument d’accompagnement des récits de chasse, des jeux musicaux entre chasseurs, des louanges, mais également de la médecine traditionnelle et de la communion avec les esprits.

 

Dans les années 50, Alata Bourleil et Yoro Diallo, alors jeunes musiciens se réapproprient le N’Goni, désirant le mettre en valeur hors du cadre traditionnel et populaire en introduisirent le nom Kamele’n’Goni (le n’goni des jeunes).

ABOU DIARRAMarqué par la culture ancestrale des chasseurs mandigues, Abou Diarra est un joueur de n’goni (harpe guitare malienne) au parcours atypique et étrange. Formé par un maître virtuose et aveugle, il a sillonné, pendant plusieurs mois, les routes d’Abidjan-Bamako-Conakry… à pied, accompagné de son seul instrument. Traversant les villages les plus reculés d’Afrique de l’Ouest comme les mégalopoles modernes, il y a puisé tour à tour des sons cachés traditionnels et des musiques urbaines contemporaines…Sa musique parle du voyage, de l’exil, du mouvement… Fasciné par le blues, le jazz, le reggae, le groove… Les rythmes et styles où se mélangent pays, sonorités, influences… Abou Diarra explore hors des gammes classiques, utilise son n’goni comme une guitare, une basse, une harpe ou une percussion… dans des balades silencieuses et nostalgiques ou des rythmes endiablés de bals poussières.
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