Du 8 au 30 juillet à 16h20
Présence Pasteur : 13 rue du Pont Trouca, Avignon
Relâche les 17, 24 juillet. Durée : 1h15
Le jour où ma mère a rencontré JOHN WAYNE…
Ecriture et interprétation : Rachid Bouali
Mise en scène: Alain Mollot
Coproduction : Cie La Langue Pendue (Villeneuve d’Ascq), le Grand Bleu ENPDA (Lille), Le Strapontin (Pont Scorff). Avec le soutien de La DRAC Nord Pas de Calais et du Conseil Régional Nord Pas de Calais.
Puis en tournée dans toute la France jusqu’au 24 avril 2014
C’est une véritable épopée dans laquelle nous embarque aujourd’hui Rachid Bouali. Une épopée des « petites gens », construite comme un film où il multiplie zooms et travellings, bouscule les plans, croise les époques et les décors et nous déroule le petit monde de sa mère : son canapé vert, son buffet style élisabéthain de chez Conforama, les feuilletons télévisés qu’elle utilise comme méthode Assimil, sa découverte des théories de Dolto et le jour où elle a vu John Wayne pour la première fois.
Avec Le jour où ma mère a rencontré John Wayne, Rachid Bouali rend à sa maman un hommage d’une tendresse et d’une justesse magnifiques. À travers elle, il salue aussi toutes les mères du monde et nous raconte avec humour, poésie et beaucoup d’émotion, une histoire aussi intime qu’universelle.
du 8 au 31 Juillet 2013 à 17h
à La Chapelle du Verbe Incarné
P’TITE SOUILLURE
Texte de Koffi Kwahulé (Editions Théâtrales). Mise en scène : Damien Dutrait et Nelson-Rafaell Madel. Avec : Emmanuelle Ramu, Céline Vacher, Paul Nguyen, Nelson-Rafaell Madel,Thomas Le Saulnier en alternance avec Jérémie Billet
Durée : 1h20
Production : Compagnie Théâtre des Deux Saisons et Collectif La Palmera
.Le spectacle a été créé les 28 février, 1er et 2 mars 2013 au Théâtre Aimé Césaire de Fort-de-France
« C’est la pièce ! C’est P’TITE SOUILLURE », tels furent, si ma mémoire ne me trahit pas, les premiers mots que j’ai adressés à l’équipe emmenée par Nelson-Rafaell Madel et Damien Dutrait (Cie Théâtre des Deux Saisons) après leur présentation de maquette au TGP de Saint-Denis.
La force de la proposition de La compagnie Théâtre des Deux Saisons est de ne pas avoir eu peur de jongler avec le style rhapsodique de la pièce. Plongeant avec une gourmandise jubilatoire dans les différentes humeurs de la pièce, ils parviennent déjà à faire rire autant qu’à émouvoir.
Aussi je souhaite que cette proposition d’une trentaine de minutes ait l’opportunité de déployer ses ailes, et j’apporte à la compagnie emmenée par Nelson-Rafaell Madel et DamienDutrait, mon total soutien.
Koffi Kwahulé