Christina Rosmini est une artiste aux multiples facettes : chanteuse, danseuse, comédienne, musicienne et auteure. Née à Marseille, Christina a gardé de ses origines espagnoles, corses et italiennes, une voix chaude et émouvante, de la fantaisie et une énergie communicative.
A chaque disque, elle nous enchante avec sa chanson française “de tous les Suds”, une pop nourrie d’influences hispaniques, un univers musical chaleureux à l’image de la personnalité́ solaire de cette artiste.
D’Etienne Roda Gil qui accompagna son travail d’écriture, à Pierre Barouh et Claude Lemesle qui saluent son style et sa plume, de Georges Moustaki à Paco Ibañez qui l’inviteront à partager la scène et à chanter en duo avec eux, d’Enrico Macias qui lui fait assurer ses 1ères parties à l’Olympia et au Caire, à Vladimir Cosma qui co-écrit avec elle une chanson qu’elle interprète au cinéma… son éventail artistique a surpris et séduit les plus grands.
Son nouvel album INTI reflète une spiritualité empreinte d’humour, un humanisme plein d’espoir, un optimisme aux accents anti-passéistes. C’est une ode à la puissance créatrice féminine sous le signe du Dieu du Soleil amérindien INTI. Sur cet album, les sonorités actuelles se mêlent aux influences rythmiques et mélodiques de différentes cultures que Christina a rencontrées dans les divers pays où elle s’est produite : Amérique du Sud, Inde, Canada, Moyen Orient… ainsi que celles de sa terre d’origine l’Espagne.
Christina Rosmini, développe un juste équilibre entre chansons légères et chansons graves, des thèmes d’actualité, comme la survie des indiens d’Amazonie menacés par la déforestation (Rouge), ou le réchauffement climatique (Something in the air), l’affirmation du désir des femmes quel que soit leur âge (La Fea, La Louve, ou Tant de fleurs), la mort de milliers de migrants – et de migrantes- en Méditerranée (Sous nos Pieds), le désir de changer le monde malgré́ le constat de nos limites (J’aurais voulu)… aux côtés de thèmes universels comme celui du premier amour (Le Kid), celui d’une rupture, sur un ton léger, (Mais pourquoi ?), ou celui de la fuite du temps, mais sans nostalgie (Le Konnakol du bon vieux temps, et Le Temps qui passe). Un univers musical chaleureux à l’image de la personnalité solaire de cette artiste fidèle à ses racines.
MUSICIENS
Bruno Caviglia : Guitares
Sébastien Debard : Claviers / accordéon / bandonéon / accordina
Xavier Sanchez : Batterie / cajón
Bernard Menu : Basse
& Christina Rosmini : Chant / guitare, guitalélé, daf, tambour, crotales, castagnettes, ocarina…