Christophe
Daniel Bevilacqua, dit Christophe, né le à Juvisy-sur-Orge et mort le à Brest, est un chanteur français.
Biographie
Origines
Christophe descend d’immigrés italiens originaires du Frioul. En 1891, son arrière-grand-père, le maçon-fumiste Baptiste Bevilacqua, s’installe à Juvisy et fait venir de nombreux compatriotes pour travailler dans l’entreprise familiale1. Plusieurs décennies après, le père de Christophe, Georges Jacques Bevilacqua, tient une entreprise d’installation de chauffage central – qui prospère assez pour s’étendre à la vente d’électroménager -, tandis que la mère est couturière2.
Vers l’âge de 8 ans, Édith Piaf et Gilbert Bécaud sont ses premières idoles, puis il découvre le blues, Robert Johnson et John Lee Hooker. Fasciné très jeune par l’American way of life, tel qu’il est dépeint dans les films qu’il va souvent voir au cinéma.
À la fin des années 1950, comme bien des jeunes de sa génération (celle du baby boom de l’après-guerre), il est marqué par Elvis Presley et James Dean, tout en développant une passion sincère pour le rock des pionniers de la maison Sun et le blues (il reconnaîtra avoir également été influencé par Georges Brassens).
Ayant trouvé sa vocation, il apprend la guitare et l’harmonica. En 1961, il fonde Danny Baby et les Hooligans (« Danny » étant une référence à son prénom Daniel) un groupe amateur. Il chante le plus souvent en yaourt (du faux anglais) tout en s’accompagnant à la guitare et toujours en play-back car il n’aime pas apprendre par cœur.
Débuts
Après son service militaire, il entame une carrière de chanteur en solo. En 1963, il enregistre son premier 45 tours Reviens Sophie, qui est un échec.
En 1965, sa ballade Aline, lui apporte reconnaissance et succès : no 1 en France, en Espagne, en Belgique, en Israël, en Turquie et au Brésil3, la chanson dépasse le million de disques vendus4, dont plus de 400 000 en France5.
Mais des doutes sur les paroles (possiblement en collaboration avec Jean Albertini, son producteur) et la musique lui valent, quelque temps plus tard, un procès pour plagiat avec le chanteur Jacky Moulière, qui l’accuse d’avoir plagié sa chanson La Romance. Christophe perd en première instance mais gagne en appel à la fin des années 1970.
Il figure sur la « photo du siècle » regroupant 46 vedettes françaises du « yéyé » en avril 1966.
D’autres succès suivent à un rythme plus ou moins régulier, comme Les Marionnettes (no 1 en France et en Belgique), J’ai entendu la mer, Je chante pour un ami ou Excusez-moi Monsieur le professeur.
Grisé par sa réussite, Christophe vit alors à cent à l’heure, au propre et au figuré : il a de nombreuses démêlés avec la maréchaussée parisienne pour excès de vitesse au volant de ses Ferrari et Lamborghini[réf. nécessaire]. En 1968, il participe même à une course comme pilote. Il affectionne également les grosses voitures américaines comme les Cadillac.
Consécration
Au début des années 1970, sa popularité fléchit pendant une courte période, durant laquelle il se laisse pousser une moustache qui, avec sa longue chevelure blonde, signera son image de latin lover.
En 1971, Francis Dreyfus crée le label Les Disques Motors où vont sortir désormais les albums de Christophe. Il revient dans les classements avec respectivement Mal et Mes Passagères, la même année, et Oh mon Amour, Main dans la main, Belle et Rock Monsieur en 1972. Le déclic se produit à nouveau pour Christophe lorsque son producteur Francis Dreyfus lui adjoint les services du jeune parolier Jean Michel Jarre, avec qui il écrit l’album Les Paradis perdus6, très influencé par le rock anglo-saxon de l’époque (Pink Floyd, Lou Reed).
Le succès est à nouveau au rendez-vous, la réussite de leur association concrétisée, en 1974, par l’album Les Mots bleus ainsi que le 45 tours de la chanson titre, un des sommets de la carrière de Christophe, qui lui permet de renouveler son public. Il se produit alors à l’Olympia pour deux soirs à guichets fermés. Dans un moment de dépression, il tombe pour une courte période dans la drogue[réf. nécessaire].
En 1976 il collabore avec Boris Bergman pour Samourai, qui contient la chanson Merci John d’être venu dédiée à John Lennon. En 1978, il publie l’album Le Beau Bizarre, aux textes signés de Bob Decout, qui n’a pas le succès des précédents mais lui vaut les louanges de la critique. C’est un album résolument pop-rock, que Libération place parmi les cent meilleurs albums de l’histoire du rock ‘n’ roll. En 1980 il collabore avec son beau-frère Alan Z Kan pour Pas vu, pas pris et, à la demande de son épouse Véronique, Christophe ressort le 45 tours Aline : la réédition dépasse alors le million de copies en France7.
En 1983, son troisième plus gros succès en simple est à nouveau une ballade, Succès Fou, dont il vend quelque 600 000 copies et qui achève de le cataloguer comme chanteur pour midinettes. En 1984 il sort Voix sans issue en yaourt.
Christophe se consacre aussi dans les années 1980 à débattre sur les plateaux télé contre le fléau de la faim dans le monde, montrant qu’il est aussi un homme d’engagement.
Reconnaissance
Par la suite, son rythme de travail se ralentit : il compose la musique du premier tube de Corynne Charby, Boule de flipper8. Il publie un album d’adaptations de standards anglo-saxons des années 1940–1950 (Clichés d’amour), des 45 tours (Ne raccroche pas en 1985, qui se veut un clin-d’œil à l’adresse de la jeune Stéphanie de Monaco), mais ne fait plus de scène.
Il se consacre alors essentiellement à ses collections de juke-boxes, de disques rares et de grands films — sa cinéphilie était bien connue du directeur de la Cinémathèque française, Henri Langlois, à qui il prêta une copie originale de La Strada de Federico Fellini. Mélomane averti, il se tient toujours au courant des dernières nouveautés, afin notamment d’actualiser sa propre musique. Perfectionniste jusqu’à la maniaquerie, il peut passer un an à travailler sur le son d’une partie de batterie.
Après un 45 tours passé à peu près inaperçu Chiqué chiqué en 1988, Christophe change de maison de disques en 1995. De Motors, il passe chez Epic, une division de Sony9.
En 1996, il publie Bevilacqua, un album ambitieux qui ne fera guère parler de lui où on l’entend en duo avec son idole Alan Vega du groupe américain Suicide9.
Véritable disque d’ambiance, Bevilacqua surprend par sa modernité : Christophe ne ressemble plus au dandy crooner des années 1970. Il a travaillé durant plusieurs mois sur l’album dans le studio installé chez lui.
Cinq ans plus tard, le , l’album d’avant-garde Comme si la terre penchait, produit par Philippe Paradis, connaît un meilleur accueil, même si on est encore loin des résultats de vente passés.
Il annonce alors son retour sur scène (où il ne s’était pas produit depuis 26 ans) et donne une série de concerts à l’Olympia.
Il a fait appel à des éclairagistes du théâtre et de la danse pour mettre en valeur son spectacle. Il chante, assis sur un tabouret, la lumière centrée sur lui, pendant que des danseurs se produisent sur une chorégraphie de Marie-Claude Pietragalla, des images de rock’n’roll sont projetées sur le décor. Les CD et DVD Christophe: Olympia 2002 paraissent l’année suivante.
Des années 2000 à 2020
En 2004, il chante en duo avec Alain Bashung sur la scène de l’Élysée Montmartre Les Mots bleus et Amsterdam. En mars 2005, sur la scène de l’Opéra-Comique il reprend la chanson Hollywood de Brigitte Fontaine composée par Areski Belkacem.
En 2007, Christophe chante L’un dans l’autre sur l’album Arkhangelsk du trompettiste Erik Truffaz, morceau dont il a écrit les paroles10.
Le , il sort, chez AZ, Aimer ce que nous sommes : une œuvre large sur laquelle il travaille depuis 2004. Plusieurs artistes, comme Isabelle Adjani, Daniel Filipacchi, Florian Zeller, Murcof, Jac Berrocal, Carmine Appice et son ancien producteur Francis Dreyfus, ont collaboré à cet album, enregistré essentiellement de nuit, entre Paris, Séville, Londres et réalisé par Christophe Van Huffel (du groupe Tanger).
En 2009, il donne un concert spectacle dans le parc du château de Versailles, avec Carmine Appice à la batterie. À la fin de cette année, il entame la tournée Aimer ce que nous sommes.
En 2011, il participe à l’album de reprises de chansons d’Alain Bashung Tels Alain Bashung en interprétant de manière remarquée Alcaline11 et reprend en duo avec Brigitte Fontaine Hollywood sur l’album L’un n’empêche pas l’autre. Il ressort cette même année l’album Bevilacqua12.
Dans le cadre de la tournée « Aimer ce que nous sommes », qui a déjà emmené Christophe dans toute la France, en Suisse, en Belgique et au Liban, le 18 juin 2011, il revient dans sa ville natale, Juvisy-sur-Orge, où il se produit pour un spectacle de trois heures et demie devant près de trois mille personnes[réf. nécessaire].
En octobre 2011, il est invité par Julien Doré sur la scène de l’Olympia13,[source insuffisante] et, en novembre, il chante en duo Boby avec Loane.
Après une tournée de plus de cent dates, début 2013, Christophe choisit de donner sept concerts en France, sous le titre Intime Tour, avec une formation épurée (piano, synthés, guitare).
Le , Christophe sort un album d’inédits Paradis retrouvé (BMG), à cette occasion, le journaliste Bayon considère qu’en tant que « yéyé minet rockab electro dandy beauf bouliste à pin-up, Christophe serait ce chaînon manquant elvisien entre Adamo et Vega via Juvet14 ».
À la suite du succès des premiers concerts de l’Intime Tour, la tournée se poursuit en France et à l’étranger, donnant lieu, le 31 mars 2014, à la sortie de l’album Intime15.
En 2016 il collabore avec Jean-Michel Jarre à l’occasion de l’album Electronica 2: The Heart of Noise pour le morceau Walking The Mile.
Christophe sort un nouvel album le , Les Vestiges du chaos, qui reçoit un accueil critique enthousiaste. L’album comprend un duo avec Alan Vega, l’une des idoles du chanteur[réf. nécessaire].
En 2019, Christophe est invité par les curateurs Martin Widmer et Marie Villemin du centre d’art de Neuchâtel (CAN) en Suisse à mettre en musique des entretiens qu’ils ont réalisés et montés de l’artiste Suisse Olivier Mosset. Pendant plus d’une année Christophe et Martin Widmer collaborent sur la réalisation de ce morceau qui sortira finalement sous forme d’un maxi 45t en juin 2019. Ce disque étonnant et inclassable restera comme l’une des publications les plus originales mêlant musique et art contemporain. Quelques mois plus tard, à l’occasion du vernissage de la grand rétrospective d’Olivier Mosset au MAMCO de Genève le 25 février 2020, son curateur Paul Bernard invite Martin Widmer a penser avec Christophe le projet de la version live du disque16.
Christophe au cinéma
En 1967, Christophe signe la bande originale du film La Route de Salina, de Georges Lautner, qui restera longtemps sa seule incursion musicale dans le domaine cinématographique.
En 2004, le film Les Mots bleus d’Alain Corneau est structuré autour de sa célèbre chanson éponyme. Ce film est également illustré musicalement par nombre de ses autres chansons.
On le voit, en 2006, faire une très courte apparition dans le film de Xavier Giannoli, Quand j’étais chanteur, avec entre autres Gérard Depardieu et Cécile de France. D’ailleurs, sa chanson Les Paradis perdus s’imposera très vite comme la chanson-titre de cette romance cinématographique moderne.
En 2014, Christophe apparaît dans le film Fils de de HPG, dont il compose et interprète la bande originale. Il compose également la musique d’Arrête ou je continue de Sophie Fillières sorti en 2014 et celle de Par accident de Camille Fontaine, sorti en 2015. En 2019, il participe au film Jeanne de Bruno Dumont dans lequel il joue un des personnages, compose et interprète la bande originale.
Vie privée
D’une liaison avec la chanteuse Michèle Torr naît le 17 un fils, Romain, qu’il n’a pas reconnu 18.
Un an plus tard, il rencontre Véronique, demi-sœur d’Alain Kan, qu’il épouse en 1971, dont il est séparé19, et avec laquelle il aura une fille, Lucie, qui naît la même année20.
Mort
Souffrant d’un emphysème depuis longtemps, Christophe est hospitalisé pour insuffisance respiratoire à Paris le , sans qu’il soit confirmé s’il avait été testé positif à la maladie à coronavirus 201921,22, et placé en réanimation23,24. Transféré à Brest25, il y meurt le 26.
Discographie
Enregistrements en studio
- 1966 : Christophe
- 1967 : Christophe (album en italien)
- 1972 : Christophe
- 1973 : Les Paradis perdus
- 1974 : Les Mots bleus
- 1976 : Samouraï
- 1977 : La dolce vita
- 1978 : Le Beau Bizarre
- 1979 : Aline (réédition du premier album)
- 1980 : Pas vu, pas pris
- 1980 : Aline (réenregistrements en italien)
- 1983 : Clichés d’amour (reprises, une compilation 1993 porte le même titre)
- 1996 : Bevilacqua
- 2001 : Comm’si la terre penchait
- 2008 : Aimer ce que nous sommes
- 2013 : Paradis retrouvé
- 2016 : Les Vestiges du chaos
- 2019 : Christophe etc. (compilation de 10 titres de son répertoire interprétés en duo avec Etienne Daho, Eddy Mitchell, entre autres)
- 2019 : Christophe etc. Vol. 2 (compilation faisant suite au précédent album comprenant 11 titres de plus de son répertoire interprétés en duo avec Julien Doré, Pascal Obispo, entre autres)
Album expérimental
- 2019 : Mosset / Christophe : Christophe met en musique des entretiens du peintre suisse Olivier Mosset, un projet initié par l’artiste et curateur Martin Widmer et la curatrice Marie Villemin, le disque est édité par le centre d’art de Neuchâtel (CAN) en Suisse et distribué par les presses du réel [archive].
Bandes originale de film
Enregistrements en public
DVD
- 2002 : Olympia 2002: Le Live
Participations
- 2003 : La Chanson du vieux bébé (album Sol En Cirque)
- 2006 : Ça pue (album Le Grand Dîner, un hommage à Dick Annegarn)
- 2007 : L’un dans l’autre (album Arkhangelsk, d’Erik Truffaz)
- 2008 : Bouche pute (album Ersatz, de Julien Doré)
- 2010 : Jours de lumière (album De toi à moi, de Salvatore Adamo)
- 2011 : Alcaline (album hommage Tels Alain Bashung)
- 2011 : Hollywood (album L’un n’empêche pas l’autre, en duo avec Brigitte Fontaine)
- 2011 : Je viens d’ailleurs (album Jacno Future, en hommage à Jacno)
- 2011 : L’Impossible Abîme et Boby (album Le Lendemain, de Loane)
- 2013 : Collector (album Ghost Surfer de Cascadeur)
- 2016 : Lucie (album Balavoine(s) de Daniel Balavoine)
- 2017 : Un portrait de Norman Rockwell en duo avec Eddy Mitchell (album La Même Tribu)
- 2018 : Poète maudit en duo avec Pascal Obispo (album Obispo)
Chansons
Reprises
Liste des chansons et artistes :
- Aline : Dyango, Tony Marshall, Alberto Cortez, Diego Varagic, Georgie Dann, Zlatko Golubović et Agnaldo Timóteo
- Les Marionnettes : Franck Pourcel, Hans-Jürgen Bäumler et Richard Anthony
Récompenses et honneurs
Récompenses
- Grand prix de la chanson par l’Académie Charles-Cros en 2008 pour Aimer ce que nous sommes27.
- Grand prix de la chanson française (Sacem) en 2010
Victoire de la musique
- Victoire de la musique en 2003 : spectacle musical, tournée ou concert pour Christophe à l’Olympia
Honneurs
- Le , il est élevé au rang de chevalier de la Légion d’honneur28.
Filmographie
Comédien
Films
- 1998 : Autour de Vega, documentaire d’Hugues Peyret : lui-même, avec Alan Vega
- 2006 : Quand j’étais chanteur, film de Xavier Giannoli : lui-même, avec Gérard Depardieu
- 2019 : Jeanne de Bruno Dumont : Guillaume Évrard
Courts métrages
- 2011 : Preciosa, court-métrage de Dominique Abel : Christophe
- 2013 : Déjeuner chez Gertrude Stein, court-métrage d’Isabelle Prim : Alice Toklas
Bandes originales de films
- 1967 : La Route de Salina de Georges Lautner : musique du film
- 2013 : Mon plus bel incendie d’Arman Melies, clip réalisé par Julie Gavras
- 2014 :
- Juke-Box29, court-métrage d’Ilan Klipper : Daniel Berton
- Le Quepa sur la vilni !, moyen-métrage de Yann Le Quellec : le maire de Noère
- Fils de, de HPG : lui-même
- Arrête ou je continue de Sophie Fillières : musique du film
- 2015 : Par accident de Camille Fontaine : musique du film
- 2019 : Jeanne de Bruno Dumont : musique du film et acteur
Notes et références
- Le chanteur Christophe, un Italien de Juvisy [archive]. Le Parisien, 12 décembre 2014.
- Christian Eudeline, Christophe. Portait du dernier dandy, Fayard, , p. 19.
- http://artisteschartsventes.blogspot.fr/2015/01/christophe.html [archive].
- Biographie du chanteur sur RFImusique [archive]
- http://www.top-france.fr/html/annuel/1965.htm [archive].
- Éric Bureau, « Jean-Michel Jarre et Christophe se redisent des mots bleus », Le Parisien, (lire en ligne [archive]).
- http://www.top-france.fr/html/annuel/1979.htm [archive].
- bnf [archive].
- Serge Loupien, « L’étrange cas de Christophe Bevilacqua » [archive], sur libération, (consulté le 24 août 2012).
- Christophe et Erik Truffaz / Arkhangelsk [archive] – L’Express, 11 avril 2007.
- Christophe raconte Bashung : « Il était beaucoup dans le silence » [archive] – Rue89 le 13 avril 2011.
- Christophe, le demi-dieu de la presse branchée [archive] – Christophe interviewé par Philippe Vandel sur France Info, 28 avril 2011.
- « Julien Doré : Une très belle performance à l’Olympia », virginradio.fr, (lire en ligne [archive], consulté le 27 août 2018).
- Bayon, « Sur les quais avec Christophe », Libération, no 9936, , p. 27 (ISSN 0335-1793, lire en ligne [archive]).
- [1] [archive].
- Judicaël Lavrador, « CHRISTOPHE ENCHANTE LES MOTS DE MOSSET » [archive], sur next.liberation.fr
- http://www.purepeople.com/article/christophe-parle-de-son-fils-eu-avec-michele-torr-pour-la-premiere-fois_a112363/1 [archive]
- http://www.purepeople.com/article/michele-torr-son-fils-avec-christophe-on-ne-peut-pas-forcer-l-amour_a185086/1 [archive].
- « Christophe : qui est Véronique Bevilacqua, son épouse dont il est séparé depuis 20 ans ? » [archive], sur Femme Actuelle (consulté le 16 avril 2020)
- http://www.disquesdreyfus.com/catalogue/christophe.html [archive].
- « Le chanteur Christophe en réanimation, son épouse donne des nouvelles » [archive], sur RTL.fr (consulté le 17 avril 2020)
- « Coronavirus: les nouvelles du chanteur Christophe ne sont pas rassurantes » [archive], sur ladepeche.fr (consulté le 17 avril 2020)
- Par Eric BureauLe 29 mars 2020 à 14h29 et Modifié Le 29 Mars 2020 À 16h43, « Coronavirus : le chanteur Christophe hospitalisé à Paris » [archive], sur leparisien.fr, (consulté le 29 mars 2020)
- Par Eric BureauLe 10 avril 2020 à 13h11, « Christophe toujours en réanimation et transféré à Brest » [archive], sur leparisien.fr, (consulté le 16 avril 2020)
- « Le chanteur Christophe hospitalisé en réanimation à Brest » [archive], sur ouest-france.fr, (consulté le 11 avril 2020)
- François Armanet, « Le chanteur Christophe est mort » [archive], sur nouvelobs.com,
- « Aimer ce que nous sommes | Christophe » [archive], sur Qobuz (consulté le27 août 2018).
- « Légion d’honneur du Nouvel An. », LaLibre.be en ligne, consultée le 1er janvier 2015.
- Année du copyright précisée en fin de générique de fin ; diffusion le 11 octobre 2014 sur Arte dans le cadre de l’émission Court-circuit.
Annexes
Bibliographie
- Henry Chartier, Christophe, le beau bizarre, Éditions Grimal, 2011 (ISBN 978-2-36203-021-5)
- Christophe, résonances de l’inconnu, entretiens avec Jean Cléder, Éditions Le Bord de l’Eau, 2006 (ISBN 978-2-9156-5143-0)
- Christian Eudeline, Christophe. Portait du dernier dandy, Fayard, 2014 (ISBN 978-2-2136-8063-7)
Article connexe
Liens externes
- Site officiel [archive]
- Ressource relative à l’audiovisuel :
- (en) Internet Movie Database [archive]
- Ressources relatives à la musique :
- (en) Discogs
- (en) MusicBrainz
- (en) Songkick
- Ressource relative au spectacle :
- Mort récente
- Chanteur français du XXe siècle
- Chanteur français du XXIe siècle
- Chanteur des années 1960
- Chanteur des années 1970
- Chanteur des années 1980
- Chanteur des années 1990
- Naissance à Juvisy-sur-Orge
- Naissance en octobre 1945
- Nom de scène
- Commandeur des Arts et des Lettres
- Chevalier de la Légion d’honneur
- Chanteur yéyé
- Personnalité figurant sur la Photo du siècle
- Mononyme
- Décès en avril 2020
- Décès à Brest
- Décès à 74 ans
- Mort de la maladie à coronavirus 2019 en France
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