EDITIONS TIERRY MARCHAISSE
de Bel7 · 5 décembre 2013
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Corinne Devillaire
C’est quoi ce roman ?Roman – 19 €, 224 p.
à paraître le 7 janvier 2014
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On peut lire ce texte, qui entremêle histoires d’amour et de famille, comme une sorte de roman œdipien, qui sauterait une génération; le récit d’un désastre comique, qui puise sa matière tragique et sa force drolatique dans le jeu des déterminismes généalogiques.
Les voix de chacun s’y entrelacent et se répondent formant une fugue littéraire virtuose. Le style exact, percutant, de l’auteur sert à merveille la musique de l’ensemble. Jubilatoire ! |
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Loin de son fils Frédéric, qu’elle a toujours rejeté, Malou mène une vie luxueuse et calme avec Robert, son dernier mari, un virtuose de la chirurgie esthétique. Elle lui doit les multiples interventions qui ont soustrait son corps au temps.Frédéric a rompu tout contact avec sa mère depuis des années. Jusqu’au jour où il débarque chez elle à l’improviste, avec son épouse et leurs trois enfants.La réconciliation mère-fils n’aura pas lieu. Bien au contraire. Cette brève visite, où vont se produire deux coups de foudre aux effets catastrophiques, ne fera qu’envenimer une situation familiale invraisemblable.
Une mécanique littéraire grinçante de haute précision, en forme de puzzle à plusieurs voix, où la malédiction généalogique qui frappe toute une famille n’épargne personne, pas même le chien du petit dernier.
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L’auteurCorinne Devillaire a vécu quelques années en Autriche. Elle est aujourd’hui professeur d’allemand à Lyon. C’est quoi ce roman ? est son premier roman. |
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Moustapha Safouan
La Psychanalyse
L’histoire mouvementée de la science du désir
« Les ouvrages classiques ne peuvent être bien faits, que par ceux qui ont blanchi sous le harnais. C’est le milieu et la fin qui éclaircissent les ténèbres du commencement. » Diderot, Le neveu de Rameau
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Lucas Menget
Lettres de Bagdad
« Un récit qui sonne vrai » Christine Ockrent« Ces scènes précises, littéraires, magnifiquement ciselées, une fois mises bout à bout comme dans un triptyque de Hyeronimus Bosch, peignent une vaste et terrible fresque de l’enfer » Le Figaro
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