Thesaintcyr
Premier album “I’m waiting for the black day”
album disponible chez Believe
Le 01 mars 2013 au Nouveau Casino
A ne pas rater le 01 mars au Nouveau Casino, Thesaintcyr présentera son album I’m Waiting for the Black Day. Avec ce disque célébré par les sphères gothiques partout dans le monde, les membres de Thesaintcyr conservent leur identité cold, sur les traces du Velvet, et proposent de nouveaux morceaux gothiques dans la veine de The Cure. Leur album se présente comme le miroir de notre époque : crise, décadence de la culture occidentale, burn out. Il est teinté d’un romantisme noir et d’une mélancolie proche de Marquis de Sade. En première partie du Nouveau Casino, on retrouve le mythique duo franco-belge Vuduvox pour un set électro radical et bruitiste.
Pour être invité et pour les pass photo, merci de me prévenir
Pour regarder et diffuser la vidéo session de Cendrillon
http://www.youtube.com/watch?v=_r6r9ho7p3k
Lien Digitick
Depuis la sortie de « Wave Factory » par Believe en 2009, Thesaintcyr inscrit sa musique dans le sillage de la Factory et de The Cure. Des effets de guitare vintage, une voix sombre, des mélodies dark, un rythme minimal, telle est la marque de fabrique du premier EP qui s’inscrit dans une esthétique proche de Bauhaus. A l’origine du groupe : deux amis d’enfance fans de post-punk, Yann Bellot et Sébastien Crépinior. Grâce à Myspace, ils diffusent leur son cold wave et leur visuel clair-obscur. Thesaintcyr se fait ainsi rapidement connaître sur la toile et va se constituer un réseau international de fans dans les milieux gothiques. En Finlande, « Solely », le titre le plus dark de leur EP se hisse à la cinquième place du classement de la plateforme de téléchargement meteli.net.
En 2010, Flora Fischer rejoint Thesaintcyr en tant que bassiste et participe à l’enregistrement de la reprise originale de « Shallow than the hallow » des Cocteau Twins qui figure dans la compilation « De l’autre côté du Miroir ». Cet album est la somme de contributions d’artistes de la nouvelle scène gothique rendant hommage aux groupes post-punk et new wave des années 80. Le journaliste du Melody Maker Mike Mercer l’a considéré comme l’un des meilleurs LP de 2010. La même année, Yann Bellot cesse sa collaboration.
Sébastien Crépinior, et Flora Fischer, artiste multi-instrumentiste, poursuivent l’aventure Thesaintcyr. Ensemble, ils jettent les bases de nouveaux titres tels que Soft Riot, tango composé au clavier, The dream is sad, explorant des sonorités orientales, Lost aux influences africaines. Le premier LP « I’m waiting for the black day » se dessine. En 2011, le claviériste José Crépinior les rejoint sur scène pour jouer « Cendrillon » à l’occasion d’un concert anniversaire dans une salle parisienne et devient ensuite un membre permanent de Thesaintcyr. Le trio enchaîne de nouvelles compositions qui dressent un tableau sombre de notre époque, telles que « No tears », «One black day ». L’enregistrement de leur album a lieu au studio du Poisson Barbu. Léonard Mule s’implique fortement dans la réalisation et fait appel à Jessy Rakotomanga pour exécuter les rythmes de batterie.
Les membres de Thesaintcyr conservent leur identité cold, sur les traces du Velvet, et proposent de nouveaux morceaux gothiques dans la même veine que The Cure tout en dépassant leurs influences. Leur album se présente comme le miroir de notre époque : crise, décadence de la culture occidentale, burn out. Il est teinté d’un romantisme noir et d’une mélancolie proche de Marquis de Sade. Le chanteur à la voix « cold », puissante, déchirante, est animé d’une énergie post-punk. Erwan Fagès, le dessinateur breton de la BD « Black Mary », leur a créé un artwork : trois silhouettes, un crâne et trois roses évoquant une Vanité.
Pour diffuser plus largement leur musique, Thesaintcyr s’appuie sur des vidéos, relayées par les réseaux sociaux. Plus de 20000 fans en provenance du monde entier suivent déjà leur actualité sur leur page Facebook. Le clip « One black day » composé d’extraits du Nosferatu de Murnau, incarne une certaine vision de la fin des temps.
VUDUVOX
Bruit blanc, lumière noire et cyber-larsen: le combo franco-belge VUDUVOX forge un électro-groove radical à grand renfort de rythmiques minimalistes et de basses hypnotiques matinées de riffs de guitare androïdes et de vocaux désabusés en français.
Ce duo de choc composé de J-C de BUZZ—vox + machines—et Olivier T., percussionniste-live pour Grand Chaos, BUZZ et SA42 maintenant passé à la guitare, a vu le jour à la fin-2011 et a été signé à peine deux mois plus tard par le label italien electro/EBM/indus/synthpop Elektro Kommando (cf. Vomito Negro, K-Bereit, Combat Voice etc.).
Depuis, tout en prônant l’amour du son prochain, VUDUVOX a enchaîné les concerts avec, entre autres, Psyche (Can) ou Parade Ground (Be) et engrangé des remixes ravageurs par Pankow (It), Dolls of Pain (Fr), Danny Briottet (cf. Renegade Soundwave, Depeche Mode) (UK), David Harrow (cf. Anne Clark) (UK), Peter Rainman (cf. Apoptygma Bezerk, Trisomie 21) (Fr), Len Lemeire (cf. Implant, Anne Clark, Ministry) (Be), David Weber (cf. The Young Gods) (Ch) ou Bak XIII (Ch), pour ne citer qu’eux, tandis que Dirk da Davo—des mythiques Neon Judgement (Be)—a entamé la production de leur premier album “Vaudou électrique”…
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